Man ka viv ti lavi-mwen san terbolizé pèsonn, ki anba latè ki adan dlo rak sé mang-lan. Man pa ka janmen pwan men épi zot, man pa ka pwan wotè-zot, sof lè zot noz piété asou téritwè-mwen. Tit-mwen sé krab : zagaya, krab-tè, mantou, sémafot kisasayésa...
Un suprématiste blanc pénètre dans deux mosquées en Nouvelle-Zélande et ouvre le feu sur les fidèles en prières : 200 morts tous musulmans. En Palestine occupée, c'est quasiment tous les jours que l'armée israélienne abat des Palestiniens, chrétiens et musulmans, dans l'indifférence générale. Maintenant, au Sri-Lanka, ce sont plus de 200 chrétiens qui sont les victimes de terroristes sans doute islamistes.
L'incendie qui s'est déclaré à l'église Notre-Dame a provoqué une intense émotion, y compris chez les non-croyants car il s'agit d'un joyau architectural vieux de près de 900 ans (insistent certains).
Les Martiniquais, chacun s'en souvient, avaient refusé par près de 75% des voix l'Article 74 qui leur aurait permis d'accéder à une bien modeste autonomie. Si aujourd'hui, en avril 2019, un référendum était organisé sur l'accession à l'indépendance, nul doute que cette dernière serait rejetée à près de 90%.
Cette expression, "Talibans", avait, beaucoup s'en souviennent, été maintes fois utilisée par Fred CELIMENE, directeur de l'ex-CEREGMIA, dans le torrent de mails injurieux qu'il adressa à la terre entière pendant les quelques quatre ans de mandature de Corinne MENCE-CASTER à la présidence de l'Université des Antilles.
Que ceux qui dès le départ (OJAM en 1958) ont promu, défendu, valorisé le drapeau rouge-vert-noir et n'ont cessé de le faire depuis, passant le flambeau à des militants plus jeunes, s'insurgent contre le concours de drapeau et d'hymne mis en place par la CTM, est tout à fait compréhensible. Normal même !
Si en système capitaliste, le mécénat est quelque chose d'assez courant, les grands patrons se piquant d'art et de culture, il est très rare en système colonialo-capitaliste comme celui qui règne aux Antilles dites françaises.
Le grand écrivain italien Umberto ECO a tort quand il s'en prend de la plus féroce des manières aux fameuses NTIC ou Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication. Ou plus exactement, l'éminent sémiologue rate sa cible.
Nou pa djè enmen'y. Lè nou timanmay, nou ka gadé'y asou koté lè paran-nou ka mété'y anlè tab-la. Sé ki nou toujou tann moun di : "Fouyapen sé manjé madjendjen !". Lè nou ka vin gran, nou ka bliyé lekzistans-li ek nou simié grenyen ponm-tè adan tjek sipèmarché.
Tout sé tan-tala ni an kalté lanmod tèbè kité tèbè ka alé pa rapot a lang kréyol-nou an. Zépon natirel nou kon moun lontan té simié kriyé'y. Sel lang-la éti zanset-nous palé pandant 2 siek é dimi avan nou batjé adan lang fwansé a nan sé lanné 1950-60 la.
Décidément rien, vraiment rien, n'arrête ceux qui, sur le campus de Schoelcher (Martinique), fort de l'appui de la gouvernance de l'Université des Antilles (sise en Guadeloupe), violent en permanence la démocratie en terrorisant les femmes démocratiquement élues sur le Pôle Martinique.
Le grand public doit se demander pourquoi, après la radiation de la fonction publique des trois dirigeants du CEREGMIA, la tension persiste à la fois sur le Pôle Martinique et au sein de l'université des Antilles. En toute logique, une fois les écuries d'Augias nettoyées (de la corruption qui les minait depuis deux décennies), tout aurait dû revenir au calme.
Les violences faites aux femmes et aux filles d’outre-mer ne sont pas seulement conjugales. Elles s’inscrivent aussi dans le cadre du travail: insultes, intimidations, menaces, refus de voir une femme décider, etc. Ne laissons pas cette violence se banaliser! Réagissons pour que nos femmes et nos jeunes filles aient envie d’occuper des postes à responsabilité. Le 5 avril, tous au Musée de l’Homme à Paris pour les premières assises des violences faites aux femmes et jeunes filles d’outre-mer. Merci à Chantal Clem de cette initiative!
Ni an tipawol (proverbe/proverb/proverbio) kréyol ka di'w kon sa ki "Tété doubout sé pou an tan". Kivédi lè zot wè an madanm jenn, i pé fè tout kalté ganm ek lentérésan i lé, i pé karé kon yo ka di an bon kréyol, men lè laj-la fè tan monté anlè tet-li ek kò'y koumansé mofwazé (se métamorphoser/to transform/metamorfosear), i blijé vini pli modes.
Pies koté pé pa rété menm-parey kisiswa koté-a, soutou an lavil. Fidji an lavil ka mofwazé(se métamorphoser/to transform/metamorfosear) anmizi-anmizi, kay ka dépotjolé(détruire/to destroy/destruir), lari ka laji oben ka disparet, marché ka déplasé kisasayésa...Kifè, lè ou vini two abitié épi an koté ek koté-tala ka bokanté laspé, tjè'w blijé ka vini chimérik.
Ils sont désignés par une multitudes de noms : Tsiganes, Gitans, Romanichels, Gens du voyage ou, plus couramment ces temps-ci, Roms. Ils seraient venus de l'Inde il y a un millénaire traversant l'Asie mineure, l'Europe de l'Est jusqu'à atteindre l'Europe de l'Ouest.
Par ordonnance du référé du 15 février 2019, M. Raphaël Confiant a été condamné à la diffusion du présent communiqué pour avoir publié sur le site internet Montray Kréyol un article portant atteinte à la présomption d'innocence de M. Fred Célimène.
Depuis quelque temps, l'actualité pointe du doigt les turpitudes du clergé catholique : pédophilie à tous les étages, viols de bonne sœurs et autres partouzes vaticanes. Des évêques démissionnent, des cardinaux sont traînés en justice et la bonne vieille Eglise Catholique Apostolique et Romaine semble sur le point de s'effondrer comme jadis l'Empire Romain.
Suite à la demande formulée par la gouvernance de l'Université des Antilles au Président de la République et au Président de l'Assemblée nationale d'évacuer Josette MANIN, députée de la Martinique, de la Commission d'évaluation parlementaire qui devait venir aux Antilles vérifier la bonne application de la loi de 2015 qui fonda l'établissement, nos parlementaires martiniquais se sont fendus de la déclaration de "lapia" ("larmoyante"en français) qu'on peut lire ci-après.
Le quotidien "FRANCE-ANTILES", dans ses éditions de la Martinique et de la Guadeloupe, vient de publier un article retentissant intitulé : "Josette MANIN pestiférée en Guadeloupe". Dans cet article, on apprend un certain nombre de choses qui, espérons-le !, feront réfléchir les élus politiques martiniquais au comportement Bisounours sur ce dossier qui pourtant met en jeu environ 5.000 étudiants martiniquais.