Dans l’ouest du Kenya, la coutume veut que la veuve épouse son beau frère. Une pratique séculaire propice à toutes les dérives. Elle serait dégradante pour la femme et l’exposerait au pillage de ses ressources par des chasseurs de veuves peu scrupuleux. Pire : le lévirat contribuerait à la diffusion du Sida.
Tout a commencé par une lutte juridique prolongée entre l’Association musulmane et l’Église adventiste du septième jour (SDA), au sujet de la propriété d’une parcelle de terre. Le conflit, qui a duré des décennies, s’est terminé en octobre de cette année, après qu’un tribunal foncier et environnemental de Kisumu a déclaré que la parcelle appartenait à la communauté musulmane kényane.
Au Kenya, le gouvernement a interdit tout rapport sexuel pendant les six prochains mois, en vue de limiter la propagation du coronavirus dans le pays, apprend-on de Within Nigeria.
Ngugi wa Thiong’o holds two teaching positions at the University of California, Irvine, as Distinguished Professor in Comparative Literature and Distinguished Professor of English. He does not have an earned masters or PhD degree, only a bachelor’s degree. And he is not the only one.
Figurant parmi les favoris pour le prix Nobel de la littérature 2017, qui a été finalement été attribué le 5 octobre à Kazuo Ishiguro, l’écrivain kényan Ngugi Wa Thiong’o a construit une œuvre qui n’a de cesse de dénoncer les injustices et le pouvoir néocolonial.
NAIROBI — The British gave up their last colonies in Africa half a century ago. But they left their wigs behind.
Not just any wigs. They are the long, white, horsehair locks worn by high court judges (and King George III). They are so old-fashioned and so uncomfortable, that even British barristers have stopped wearing them.
En plus d’avoir eu le courage d’annuler l’élection frauduleuse du Kenya, le président de la Cour Suprême du Kenya, David Maraga, a exigé que sa Banque retourne les 5 millions de dollars qui y avaient été déposés à son insu, sans doute pour le corrompre.
Au Kenya, malgré un prix du livre élevé, de jeunes libraires en ligne diffusent le goût de la littérature du continent et voient leurs commandes grimper.
La communauté universitaire française a dénoncé, dès jeudi dernier, l’attaque dont a été victime l’université de Garissa, acte barbare contre le savoir et la liberté qui sont les symboles de l’Université partout dans le monde, et tient à saluer la mémoire des victimes.