Au début des années 2000, quelque 4 000 des 4 500 grands propriétaires blancs avaient été expulsés manu militari de leurs terres sur ordre du gouvernement de Robert Mugabe.
Zimbabwean coffee was once highly regarded for its quality, a prince among East African coffees. In the late 1980s, Zimbabwean coffee farmers produced over 15,000 tonnes of coffee a year, according to the U.S. Department of Agriculture, placing it firmly among the top global coffee producers.
Le label Glitterbeat exhume les premiers enregistrements de Stella Chiweshe, diva de la musique zimbabwéenne, inséparable de son instrument fétiche : la mbira.
Stella Chiweshe fait partie de ces icônes cardinales de la culture zimbabwéenne. D’abord parce que son parcours est inédit : elle fut, dès les années 60, l’une des premières femmes à jouer de la mbira, le « piano à pouce » traditionnel qui accompagne les cérémonies des Shonas (l’ethnie majoritaire au Zimbabwe). C’était déjà là une petite révolution en soi, défiant les mâles conservateurs. Mais il fallait affronter en même temps les autorités coloniales, qui faisaient tout pour étouffer les musiques locales, en interdisant par exemple les rassemblements où elles se jouaient.
Dé serten Afritjen toujou ni an manni yo lé ba Antiyè lison. Dapré yo, nou, Antiyé, nou pa asé sisi, nou pa asé sila. Nou ka fè kon Blan, nou pa ni personnalité kisasayésa...ek anlo adan nou ka trapé konpleks palakoz sé akizasion-tala. Sé pou sa ou ka wè anlo Antiyé lé vini pi Afritjen ki sé Afritjen-an yo menm. Sé yo ki lé mété plis boubou anlè yo, loks nan chivé-yo, ki ka déviré an Afrik (pou kouri-déviré an Fwans adan an bat-zié dayè).
Tandi, Zimbabwe - A white Zimbabwean farmer evicted by the government of Robert Mugabe has returned to a hero's welcome as the first to get his land back under the new president, in a sign of reform on an issue that had hastened the country's international isolation.
The Zimbabwe government is overseeing the return of a white farmer to land that was seized from him at gunpoint, in what it hailed as a sign of the new president's "inclusiveness".
Rob Smart, 71, whooped with joy this week when he was told that he can return to his farm in eastern Zimbabwe - the only home he has ever known.
Larmé péyi Zimbabwé fini maté gouvelman misié Robert MUGABE ki té met-a-manyok péyi afritjen tala dépi...37 lanné. Avan misié tounen diktatè, i té an gran konbatan révolisionnè ki goumen red kon sé rasis Blan-an ki té ka mennen péyi-a, péyi ki yo té ka kriyé "Rhodésie du sud". Sé Bétjé-tala té mété doubout an sistenm "apartheid" kivédi séparasion ant Blan ek Neg ki té menm-parey épi ta l'Afrik-di-Sid la. Lè Neg lévé gawoulé kont yo, MUGABE té primié-douvan ek lè yo chapé kò-yo, sé li ki vini ka mennen péyi-a éti i mofwazé non'y pou sa ba'y yonn ki natif-natal : Zimbabwé.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé jeudi (que le Zimbabwe, en arriérés de paiement à son égard depuis quinze ans, avait réglé toutes ses dettes, ce qui pourrait permettre au pays de redevenir éligible pour une éventuelle aide financière. "Le Zimbabwe est maintenant à jour sur toutes ses obligations financières envers le FMI", a indiqué Gerry Rice, le porte-parole de l'institution, dans un bref communiqué.
Dabò-pou-yonn, fok sav ki Robert MUGABE, ki met-a-manyok Zimbabwé, an péyi ki nan tjè l'Afrik, pa mwens ki Nelson MANDELA kon anlo moun ka kwè. Poutji ? Davwè péyi'y sibi pannan etsétéra tan menm sitenm laparted-la ki té ka woulé l'Afrid-di-sid la. An tan-tala, sé Bétjé anglé ki té ka mennen péyi-a ek dayè non péyi-a sé té Rodézi, an non ki ka vini di moun-lan, Cecil RHODES, ki swédizan "dékouvè"y la. Anfet, ki kolonizé'y pito ek mété'y anba lopsion l'Anglitè !
Robert Mugabe, président du Zimbabwé et adepte des sorties fracassantes a déclaré que l’Afrique devait mettre en place sa propre justice à l’image de la Cour pénale internationale (CPI).
Président à...92 ans du Zimbabwe, autre pays, on l'oublie trop souvent, où, avec l'Afrique du Sud, le sinistre régime de l'apartheid fut longtemps en vigueur (le pays s'appelait alors "Rhodésie"), Robert MUGABE, toujours bon pied bon œil, sans doute parce qu'il n'a jamais été menacé par la traitrise d'aucun G 20 (ou G FAIM), est un grand pourfendeur du colonialisme et de l'impérialisme. Sa femme, la belle Grace MUGABE, 55 ans, n'est pas en reste et défend avec acharnement les valeurs de l'Afrique ancestrale. En tout cas, elle n'a jamais porté de"chivé-léta" (faux cheveux) si l'on en juge par la dernière plaisanterie en date du leader zimbabwéen (plusieurs fois emprisonné sous le régime de l'apartheid) à qui ses idées révolutionnaires n'empêche pas d'être un pince-sans-rire : "C'est dur d’ensorceler une fille africaine de nos jours. Chaque fois que tu amènes un bout de ses cheveux au sorcier, c'est une Brésilienne innocente qui devient folle, ou alors une usine en Chine qui prend feu."