La province de Torba au Vanuatu souhaite devenir la première province des îles pacifiques à devenir 100% bio, rapporte le Guardian. Des élus locaux défendent la réduction des importations des produits alimentaires occidentaux transformés.
La question de la Polynésie française sera examinée ce vendredi devant le comité de décolonisation de l'ONU. Richard Tuheiava prendra la parole.
Lundi, 29 Juin, 2015 - 22:29
Le Comité spécial de la décolonisation de l'ONU a entamé le 15 juin dernier sa reprise de session de l'année 2015 en adoptant l'ordre du jour de ses travaux "stipulant que le comité se penchera cette année sur la situation de quatre des 17 territoires non autonomes inscrits sur sa liste, à savoir la Nouvelle-Calédonie, Porto Rico, Gibraltar et le Sahara occidental". Le cas de la Polynésie française sera néanmoins évoqué ce vendredi 26 juin lors de la dernière séance de travaux de ce comité spécial avec le rapport du comité spécial sur l'adoption des recommandations.
La résolution de l’Assemblée générale de l’ONU plaçant la Polynésie française sur la liste des territoires à décoloniser est «une ingérence flagrante» et «une absence complète de respect pour les choix démocratiques des Polynésiens», a dénoncé vendredi Paris.
Ami lecteur, il nous est heureusement quelques fois donné de rencontrer des personnages « météorites » pour la trace de forte existence qu’ils nous laissent après leur passage et dont nous gardons et partageons l’encourageante mémoire.
Depuis des décennies, à chaque élection on semble redécouvrir le front national comme étant un monstre mystérieux qui régulièrement vient hanter l’esprit des français de l’hexagone et d’outre-mer.
C’est peut-être la question posée par de nombreuses personnes, lorsqu’ils entendent ce terme d’“ultramarin” de plus en plus présent dans les discours liés aux régions de l’outre-mer français. D’ailleurs, le phénomène vire actuellement à un véritable avènement idéologique. Après la négritude d’Aimé Césaire, l’antillanité d’Edouard Glissant et la créolité de Jean Bernabé, Patrick Chamoiseau et Raphaël Confiant, l’air du temps serait à l’“ultramarinité” . Serait-ce là une nouvelle référence identitaire ? Une tentative d’interprétation anthropologique s’impose pour saisir le projet de ce fait “ultramarin” et sa fonction.
par Serge DUNIS (Professeur à l’Université de la Polynésie française)
Vendredi, 27 Avril, 2007 - 21:14
Pour ces Mélanges en hommage à Jean BERNABE qui fut non seulement mon collègue et mon ami pendant les cinq belles années de mon existence à la Martinique, mais aussi mon témoin de mariage à Fort-de-France, j’ai choisi de disserter sur la magie conjugale et anthropologique des moitiés…