Nou toujou té abitié épi wawet vè a : ou ka jwenn li, pa ekzanp, asou sé dé bel gran plaj Makabou a. I pa ka anni anvayi yo ek i pa ni an vié lodè. I pa danjéré pou lasanté moun non pli.
Mustafa LAABID est député LREM d'Ille-et-Villaine. Il a affirmé avoir "voté à distance" pour la Loi Molac qui ouvre enfin quelques perspectives pour le corse, le basque, l'occitan ou le créole.
Dépi volkan La-Soufriyè Sen-Vensan an déblozé ni twa jou, sitiasion-an vini krabik menm ba popilasion-an abo pliziè péyi bannzil karayib la za koumansé pòté pal ba yo.
Comment comprendre que 1.000 hectares de bonnes terre agricoles partent en fumée chaque année sur le territoire minuscule de la Martinique ? En fait, "en fumée" n'est pas la bonne expression car ce sont les mots de "bétonisation" et bitumisation" qui conviennent.
Tout moun sav li atjelman abo sa ka fè nanni-nannan ki ékolojis adan ti péyi Matinik la té za di sa, matjé sa ek dénonsé sa : pres tout moun Matinik ni salopté klowdékòn-la andidan san-yo.
Il y a quelques jours, comme chaque année, l'anniversaire de la loi de 1946 qui transforma les quatre "vieilles colonies" de la France (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Réunion) en "Départements d'Outremer" est passée complètement inaperçue.
Les plus de cinquante ans se souviennent de ce vers de Corneille, "Rome, l'unique objet de mon ressentiment", avec lequelnos maîtres d'école d'antan avaient bassiné nos vertes années. Aujourd'hui, la culture dite "classique" a été balayée par l'enseignement dit "numérique" dans lequel on survole, on surfe, on zappe.
On se souvient qu'après avoir nié le problème du chlordécone en 2007 et avoir fait les revendeuses des marchés de Foyal huer les noms des écologistes L. Boutrin et R Confiant, coupables d'avoir publié un livre dénonçant ce scandale, S. Letchimy fut nommé responsable d'une commission d'enquête parlementaire en 2019 soit...12 ans plus tard.
Décidément le scandale du CEREGMIA tourne ces temps-ci à la farce burlesque. Suite au reportage en deux épisodes de Cécile MARRE sur MARTINIQUE 1è-Télévision, lesquels, pour la première fois, ont donné à voir au grand public les turpitudes de Fred CELIMENE, Kinvi LOGOSSAH, Eric CARPIN et leurs complices, leur avocat, Me Philippe EDMOND-MARIETTE a réclamé un droit de réponse à la chaîne de Clairière.
C'est donc ce mardi matin que s'ouvrira, à 8h au Tribunal de Fort-de-France, le procès fait à notre site-web par le recteur de la Martinique lequel nous accuse de "diffamation".
Dans un article publié hier sur notre site, intitulé "Quand Montray Kréyol est poursuivi en justice par le recteur de la Martinique", nous avons expliqué cette affaire en détail et nous demandons à nos lecteurs de s'y reporter en cas de besoin.
André Breton avait raison : la Martinique est une terre surréaliste. Et pas seulement parce qu'elle serait "charmeuses de serpents" comme l'affirme le titre d'un beau livre qu'il a consacré à notre île.
Jamais le terme "halluciner" ne semble plus approprié à une société que celle de la Martinique, du moins telle que cette dernière fonctionne depuis trois ou quatre ans. Ainsi, on voit des responsables de collectivité aider à faire sortir des malfrats de prison pour soi-disant les réinsérer, mais en réalité pour leur servir de gardes du corps ou de "dogs" lors des campagne électorales, malfrats qui finissent par s'entretuer dans une boite de nuit ; on voit des élus envoyer des lettres de démission, puis déclarer le lendemain, la main sur le coeur, qu'ils ou elles n'ont jamais démissionné ; on voit des détourneurs de fonds publics mener des campagnes injurieuses et diffamatoires contre des citoyens qui tentent vaille que vaille de s'y opposer et cela dans l'indifférence totale de la justice etc...etc...
Hier soir, vendredi 05 mars, le Centre Culturel du bourg de Rivière-Salée a fait salle comble pour le forum citoyen organisé par MARTINIQUE-ECOLOGIE à l'occasion de sa rentrée politique.
Lajistis fwansé fini kondannen Nicolas Sarkozy a 3 lanné lajol (éti yonn adan'y sé andidan lajol-la i pou fè'y), bagay ki ka montré ki i pa toutafetman anba lanmen sé gwotjap-la.
Pas moins d'une vingtaine d'associations, mouvements et partis politiques de tous bords appellent, ce samedi 27 février, tous les Martiniquais à descendre dans la rue afin d'exiger justice pour l'empoisonnement de notre peuple et notre pays par le chlordécone.