Dimanche, en marge de la présidentielle, les Équatoriens se prononçaient aussi par référendum sur la poursuite ou non de l’exploitation pétrolière dans la forêt amazonienne d’une terre indigène et réserve unique de biodiversité
Tous les Martiniquais connaissent la plage du Coin au Carbet, son sable volcanique scintillant au soleil et ses eaux calmes. Ils l'apprécient tout comme ces nombreux touristes qui se détournent du cliché de la plage tropicale au sable blanc bordée de cocotiers.
Reconnaissable grâce à un son montant et descendant, vous avez sans doute déjà entendu l’essai mensuel d’une durée d’1 minute et 41 secondes. Le signal d’alerte enchaîne 3 cycles de cette sonnerie séparés d’intervalles de 5 secondes.
Pa té rété ! Anne Hidalgo invitée du JT de Martinique La 1ere ce dimanche 13 février 2022 se découvre une âme d’écologiste insulaire, dénonce l’inaction climatique de Macron et sort de son chapeau de candidate des solutions inopérantes. Soit !
"La diagonale du vide ?" vous demanderez-vous avec raison "C'est quoi, ça ?". Eh bien, rappelez-vous, c'était en 2015, peu avant les toutes premières élections territoriales, lorsque le Conseil régional, présidé par Serge Letchimy avait sorti un projet fumeux de son chapeau : construire une route à deux fois deux voies entre le Carrefour Brasserie Lorraine au nord et le Carrefour de Carrère au sud.
Une situation kafkaïenne règne en Haïti. L’État s’effondre. Le pays se délite. Beaucoup de haïtiens ne se reconnaissent plus dans cette société haïtienne d’aujourd’hui. Mieux, ne reconnaissent plus leur pays tout simplement. Mais, Ils s’accrochent durement à l'idée d'un lendemain meilleur. Pourtant, malgré cet espoir, le pire est encore à venir. Le savent-ils ? Car, selon la majorité de très respectables instituts de climatologie, la crise climatique devra frapper brutalement aux portes d’Haïti. Très peu de haïtiens en sont aujourd’hui conscients. Et la plupart de leurs dirigeants inclus.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a présenté lundi sa plus importante publication depuis 2014. Les conclusions sont alarmantes.
Cette expression de "fin du monde et fin du mois" avait été, on s'en souvient, mise à la mode à l'époque du mouvement des Gilets Jaunes en France il y a deux ans. C'était une manière de clouer le bec aux écologistes et autres annonciateurs de catastrophes naturelles à venir.
L’annonce par le Tribunal Administratif de Fort-de-France de la suspension de l’épandage aérien est un mauvais coup porté à la filière banane et aux zones rurales tant sur le plan économique que social.
La crise écologique planétaire a atteint un tournant décisif avec le phénomène du changement climatique. Premier constat : tout s’accélère bien plus vite que prévu.
Notre rédaction avait été alertée par un projet immobilier dans la commune du Saint-Esprit concernant 10 hectares plantées en canne. Le panneau indiquait la construction d'une trentaine de villas. A l'heure où l'Usine du Galion peine à trouver de la canne, nous avions considéré que c'était là une forme d'aberration mais n'avons jamais pointé du doigt cette seule commune. Notre propos, très clair, concernait la bétonisation et bitumisation rampante de toute la Martinique, chose qui met en danger les générations futures.
L'article que l'on peut lire au bas de la présente introduction avait été publié par le quotidien "FRANCE-ANTILLES" le 23 octobre 2007. Il évoque le deuxième livre sur le chlordécone co-écrit par R. Confiant et L. Boutrin sur l'empoisonnement de la Martinique et de la Guadeloupe par le chlordécone.
Quoique la pré-campagne électorale en vue des élections territoriales de juin prochain batte son plein avec des meetings d'annonce de candidatures et des créations de comité de soutien un peu partout, il importe de ne pas perdre de vue les problèmes fondamentaux qui affectent notre Martinique.
Certaines personnes se sont interrogées sur les raisons ayant poussé l'association "Ecologie Urbaine" à organiser une conférence de presse, la semaine dernière, sur la question de la prescription dans l'affaire du chlordécone.
Ce vendredi matin, 12 mars, à "L'IMPERATRICE", l'association "Ecologie Urbaine", accompagnée de ses trois avocats a fait le point sur le dossier du chlordécone avec la presse.
Ce vendredi matin, 12 mars, à "L'IMPERATRICE", l'association "Ecologie Urbaine", accompagnée de ses trois avocats a fait le point sur le dossier du chlordécone avec la presse.
La crise que traverse en ce moment l'Université des Antilles a suscité des prises de positions diverses et variées sur le devenir de cet établissement.