Accueil
Aimé CESAIRE
Frantz FANON
Paulette NARDAL
René MENIL
Edouard GLISSANT
Suzanne CESAIRE
Jean BERNABE
Guy CABORT MASSON
Vincent PLACOLY
Derek WALCOTT
Price MARS
Jacques ROUMAIN
Guy TIROLIEN
Jacques-Stephen ALEXIS
Sonny RUPAIRE
Georges GRATIANT
Marie VIEUX-CHAUVET
Léon-Gontran DAMAS
Firmin ANTENOR
Edouard Jacques MAUNICK
Saint-John PERSE
Maximilien LAROCHE
Aude-Emmanuelle HOAREAU
Georges MAUVOIS
Marcel MANVILLE
Daniel HONORE
Alain ANSELIN
Jacques COURSIL

Quand Fred Célimène s'attaque à une journaliste de Martinique 1è

Quand Fred Célimène s'attaque à une journaliste de Martinique 1è

   En dépit de son placement sous contrôle judiciaire strict, Julie FREMONT, le courageux pseudonyme de Fred CELIMENE, ex-directeur du CEREGMIA, continue à sévir par mail contre la présidente de l'Université des Antilles, le doyen de la faculté des Lettres et Sciences humaines et une bonne douzaine d'enseignants, nommément désignés et insultés ou diffamés, tant du Pôle Martinique que du Pôle Guadeloupe de notre université. Petit florilège du lexique céliménien :

 
   . "boule de merde enveloppée dans du papier-cadeau".
 
   . "crétin sonore".
 
   . "délinquants"

   . "grand malade en quête de reconnaissance sociale"  (adressé à un enseignant de Sciences politiques du campus de Schoelcher)
 
   . "castrés"  etc...
 
   Or, en bonne logique son placement sous contrôle judiciaire strict (saisie du passeport + obligation de se présenter à la brigade de gendarmerie la plus proche de son domicile + interdiction d'enter en contact avec une quinzaine d'universitaires et de politiques) aurait du lui interdire de continuer à sévir. Il en est, en effet, très exactement à son 1.147è mail diffamatoire en 4 ans. IL est vrai que celui à qui le Conseil de discipline de l'Université Toulouse 1 a interdit de diriger un laboratoire de recherches pendant 5 ans, dispose de tout son temps : il est suspendu de son poste depuis 2 ans avec salaire et est interdit d'accès au campus de Schoelcher jusqu'en 2017. 
   Cette fois, CELIMENE attaque la journaliste de MARTINIQUE 1è Audrey GOVINDIN, après il est vrai, s'en être pris à Cécile MARRE de la même chaîne de télé. Il préfère avoir affaire à des journalistes qui lui sont étroitement apparentés comme ce fut le cas il y a quelques mois sur une certaine télé privée. Entre parents, on se comprend mieux n'est-ce pas ? Un parent ne dira pas à l'antenne que :
 
   . CELIMENE et ses comparses ont 4 rapports accablants sur le dos : 2 de la Cour des comptes, 1 du Sénat et 1 de l'IGAENER (Inspection Générale de l'Education Nationale et de la Recherche).
 
   . CELIMENE et ses comparses se sont vu signifier dernièrement 7 chefs d'inculpation parmi lesquels "détournements de fonds publics en bande organisée au détriment de l'Union européenne", "Faux en écritures publiques", "Favoritisme", "Recel" etc...
 
   . CELIMENE a failli de peu faire de la détention provisoire à Ducos comme ce fut le cas pour un ancien ministre guyanais.
 
   . A cause du trou de 14 millions d'euros creusé par CELIMENE et ses comparses, en deux décennies, dans les caisses de l'Université, cette dernière a voté à l'unanimité de son Conseil d'administration, en décembre dernier, le remboursement de cette somme à raison de 750.000 euros par an jusqu'n 2021.
 
   . CELIMENE a été débouté de toutes ses demandes d'annulation de l'arrêté lui interdisant l'accès sur le campus de Schoelcher.
 
   Etc...etc...etc...
   Non, un journaliste apparenté ne révélerait jamais cela, mais un journaliste qui veut juste faire son boulot, OUI. L'attaque de CELIMENE contre Audrey GOVINDIN relève exactement de la même ignominie dont il fait preuve depuis bientôt 4 ans à l'endroit de ceux qui n'ont voulu que nettoyer les écuries d'Augias c'est-à-dire assainir les finances de l'Université des Antilles. 
   Alors pour intoxiquer l'opinion et s'auto-illusionner, il feint de croire que ces personnes craignent la fin du mandat (janvier 2017) de l'actuelle présidente de l'Université. Comme si le grand public n'est pas assez avisé pour distinguer les sanctions administratives (suspension de poste, interdiction de diriger un labo etc...) des sanctions judiciaires qui elles, au vu des 7 chefs d'inculpation qui pèsent sur lui et sa bande, risquent d'être sévères. Car il faudra bien que quelqu'un rembourse à l'Université ces 14 millions d'euros !
   Et ni le Parti socialiste français (qui ne dirigera plus la France en 2017) ni le Grand Orient de France ni le PPM n'y pourront rien...

Connexion utilisateur

CAPTCHA
Cette question sert à vérifier si vous êtes un visiteur humain afin d'éviter les soumissions automatisées spam.

Pages