Lavi-nou anni chalviré toubannman, chouboulé net-é-pwop, tonbé kalpat dépi apochan 2 lanné. Dépi salopté viris-tala anni débatjé nan lavi tout pep asou latè.
Qu’est-ce que le confusionnisme politique ? Le confusionnisme politique est le fait que des courants conservateurs et réactionnaires, appartenant à la sphère de l’extrême droite, s’approprient et utilisent des thématiques habituellement portées par des courants situés à l’opposé de l’échiquier politique.
Si ce fichu virus a été créée, comme le prétendent les grands savants de l'Internet, les épidémiologistes-Facebook, les infectiologues-Whatsap et autres blagologues-Instagram, par une coalition de super-riches dirigée par Bill Gates (à moins que ce ne soit Elon Musk), comment expliquer que tant de gens riches-et-célèbres aient passé l'arme à gauche comme en dit en France et en Navarre, soient monté en Galilée comme on dit en Martinique et soient montés en filao comme on dit en Guadeloupe ?
... tentaient un bras-de-fer avec l'Etat français ? Et s'ils adressaient un courrier à E. Macron lui expliquant les raisons du refus martiniquais envers la vaccination ?
Creolizing Europe critically interrogates creolization as the decolonial, rhizomatic thinking necessary for understanding the cultural and social transformations set in motion through trans/national dislocations. Exploring the usefulness, transferability, and limitations of creolization for thinking post/coloniality, raciality and othering not only as historical legacies but as immanent to and constitutive of European societies, this volume develops an interdisciplinary dialogue between the social sciences and the humanities.
Comme 382 élus (es) de Droite et du Parti socialiste, le maire de St-Marie, Bruno-Nestor Azérot a cosigné une tribune, largement publiée dans la presse hexagonale, qui applaudit les mesures liées à la pandémie du covid-19 prises par le président français, Emmanuel Macron.
Après le communiqué cauteleux du nouveau président de la CTM, S. Letchimy, élu, faut-il le rappeler, avec seulement 37% des suffrages (contre 74% et 55% pour ses homologues A. Chalus et G. Serville), voici que PEYI-A sort du bois à propos des deux nuits d'émeutes qui viennent de secouer Fort-de-France.
« Comme on le voit, il y a maintenant des universitaires – toujours les mêmes – qui agissent en usant d’une méthode et d’un vocabulaire inacceptables, remplaçant toute forme de débat par des appels à détruire la réputation de leurs collègues. »
Les guéguerres politiques entre élus martiniquais et le récent tamtam électoral font que presque personne ne fait attention à une petite musique insistante depuis quelque temps et orchestrée par certains hommes politiques de droite comme les maires du Saint-Esprit et de Saint-Joseph.
An tan lontan, Foyal té bidjoul kité bidjoul ka alé abo té ni estati kolonialis tibwen toupatou kontel ta Jozéfin ek te Dénanbik. Abo té ni bon lanmizè adan dives kartié kontel la-Trénel, Tè-Senvil ek la-Volga.
Si la science-fiction connait un succès planétaire, il existe un autre genre, moins prisé mais tout aussi intéressant : la politique-fiction. On pourrait donc s'en servir pour imaginer ce qui se passerait dans l'hémicycle de Plateau Roy au lendemain du 27 juin c'est-à-dire après les élections territoriales.
Aujourd’hui, démagogie électoraliste aidant, on entend toutes sortes de candidats se gargariser de vouloir s’occuper des personnes âgées. Une question se pose cependant :
Pourquoi les députés Serge LETCHIMY, Bruno Nestor AZÉROT, Jean-Philippe NILOR n’ont fait aucune déclaration à l’Assemblée Nationale française au moment des débats préparant
la loi du 28 décembre relative à “l’adaptation de la société au vieillissement” ?
Sans doute que la grande majorité des Martiniquais ne le sais toujours pas mais le tiers du budget de la CTM soit 430 millions d'euros est consacré à l'aide sociale.
Les Antillais et Antillaises qui se proclament panafricanistes ne choisissent que ce qui les arrangent dans la culture africaine. Etrangement d'ailleurs à partir de principes judéo-chrétiens et donc européens.
Nous avions noté dans un précédent article que pour la toute première fois dans l'histoire politique de la Martinique, 11 des 14 listes qui aspirent à remporter les élections territoriales martiniquaises portent des noms créoles ou, plus exactement, en créole.
Le nouvel acte d’une comédie. A quand la transparence et l’honnêteté en politique ? Nous sommes aujourd’hui confrontés à l’obscurantisme politique dans ce monde malsain.
S'il fallait mesurer l'impact du combat mené depuis bientôt 40 ans par les défenseurs de la langue créole, il suffirait d'examiner les noms des 14 lices en présence aux élections territoriales du 20 juin prochain.