Georges Eleuthère Mauvoix est l’auteur de nombreuses pièces de théâtre (Agénor Cacoul) mais aussi d’une monographie de la commune de Schoelcher, (Case-Navire : choses et gens de naguère) d’ouvrages en créole (Akouré) il continue son exploration dans les trésors de notre histoire. Après « Château Aubéry » paru à, K.Editions il nous propose une visite voire une redécouverte des textes de Victor Schoelcher avec : Un Certain VICTOR SCHOELCHER.
L'auteur de cet article est Nolan Melonson, l'un des dirigeants de la Communauté Créole des Etats-Unis, communauté dispersée, à partir de son terroir historique de la Louisiane, au Texas, au Nouveau-Mexique et en Californie. Elle se monte de nos jours à environ 1 million de gens et est composée de Noirs, de Métis et de Blancs. Nolan Melonson est membre de l'Association BANNZIL KREYOL dont le siège est au Seychelles (président : Patrick Nanty des Seychelles ; vice-président : Raphaël Confiant de la Martinique).
Il y a deux semaines, le quotidien « France-Antilles », dans son édition de la Martinique, interviewait Raphaël Confiant à propos de son « Dictionnaire créole martiniquais-français » publié aux éditions Ibis Rouge (Guyane). L’auteur expliqua comment il avait travaillé pour aboutir à cet énorme ouvrage de 1.447 pages, comportant 2 volumes et environ 15 entrées, la plupart d’entre elles étant exemplifiées à l’aide d’une citation d’un auteur créolophone martiniquais…
Quelle beigne, un vendredi 13! «I té bel!» ont du crier quantité de téléspectateurs le 13 juillet dernier en entendant aux infos de RFO l’écrivain Maryse Condé annoncer sa rupture définitive et faire adieu à la Guadeloupe.
De tous les candidats aux élections législatives qui se présentent en Martinique, Francis Carole, leader du PALIMA (Parti pour la Libération de la Martinique), par ailleurs conseiller général du canton le plus peuplé non seulement de Fort-de-France, mais aussi de toute la Martinique, est le seul à faire preuve de courage quant au principal problème qui affecte notre pays depuis une décennie : celui du génocide par substitution. Cette expression (créée rappelons-le par un certain…Aimé Césaire à la fin des années 70) est écrite noir sur blanc dans la profession de foi que les électeurs ont reçu des services préfectoraux, parmi celles des autres candidats. Elle figure même en priorité dans les préoccupations du candidat Carole !
Le caractère antillais, serait, entend-on parfois, foncièrement jaloux à tout niveau, économique, intellectuel, social ou affectif... Un "trait" qui peut prendre des formes subtiles et surprenantes.