Ce qui se passe sur le campus de Schoelcher doit interpeller tous les Martiniquais, singulièrement celles et ceux qui exercent des responsabilités politiques.
Ma position ne tient pas de l’opportunité. Elle est le prolongement naturel des luttes menées dès la fin des années 70 pour une université de plein exercice et l’amélioration des conditions de vie et d’études des jeunes de ce qui était alors le Centre Universitaire des Antilles et de la Guyane.