Dépi yonndé tan, ou sé ni Bétjé-Fwans ek Bétjé-péyi ka nouri an ti kochon ant yo. Konsidiré ni an liannay ki pété, an rilasion ki koumansé ka chiktayé anmizi-anmizi.
Créé en 2007__il y a donc désormais 14 ans__notre site-web n'est et n'a jamais été l'organe d'aucun parti politique. Il ne reçoit ni n'a jamais reçu aucun financement émanant de l'un d'entre eux.
C'est en début d'année 2007 que notre site-web a vu le jour, il y a donc quatorze ans et cela à une époque où ce moyen d'information était encore assez peu utilisé aux Antilles, notre confrère BONDAMANJAK faisant figure de précurseur.
Tiyich Jiska kivédi Giscard D'estaing, ansien metamanyok la Fwans, mayé nan komin Wobè (Matinik) lot jou-a. ki adan légliz-la ki lè sé moun-lan sòti déwò, pa yonn pa té ni an mas anlè fidji'y.
Supposons que... ! An sipozion !... que Maman la France, autrement connue sous le petit nom d'Amère-Patrie, eut déclaré réserver en priorité le vaccin du covid à l'Hexagone.
Contrairement à ce croient et font croire un certain nombre d'hurluberlus sur le Net, la Martinique n'est pas le centre du monde. Et les riches touristes ne viennent pas chez nous.
Nou sòti anba lanné ki té red kité red ka alé épi zafè koronaviris-tala. Yo ankazé nou, yo dézankazé nou ! Yo ba nou lè pou nou rantré lakay-nou lannuit ek yo opozé nou sanblé a plis ki sis moun.
Fort heureusement les mots ont un sens et quand ils semblent ne pas en avoir à première vue, il suffit la plupart du temps de se reporter à leur étymologie pour que tout s'éclaire.
On peut l'aimer et ne pas l'aimer. On peut l'aduler ou le détester. Mais personne en Martinique ne peut rester indifférent à la personnalité de celui que le peuple qualifie affectueusement de "Chaben".
En 1949, suite aux horreurs raciales nées du nazisme, l’UNESCO s’est lancée dans un vaste programme sur « la question des races », confié à Alfred Métraux, avec une finalité clairement didactique. Quatre déclarations ont été élaborées, la première publiée en 1950 (à laquelle a notamment contribué, du côté français, Claude Lévi-Strauss), la seconde en 1951, puis, en 1964, s’est tenue à Moscou une conférence destinée à préparer la troisième déclaration qui devait être consacrée exclusivement aux aspects biologiques de la question raciale (elle fut suivie en 1967 d’une quatrième déclaration, à laquelle participa Georges Balandier, orientée principalement vers les aspects sociaux et culturels de la question, avec leurs implications politiques à l’heure de la décolonisation). Jean Benoist, médecin et anthropologue, alors en poste à l’Université de Montréal, participa à la conférence de Moscou. Il a bien voulu répondre à ce propos aux questions de Jean-Luc Bonniol.
Certains (es) diront que 96 personnes sur 44 millions de Noirs américains, ce n'est pas grand chose et même presque rien quand on met ce chiffre face aux 330 millions d'habitants que comptent les Etats-Unis.
Cet avis de Christian de Joannis de Verclos mérite d’être lu attentivement. D’abord, on ne pourra pas accuser de Verclos de mener une « guerre ethnique » contre le propriétaire foncier de SEGUINEAU : il est Français de France ou « métro » comme ça se dit.
Dwet pa djè ni anlo moun ki chonjé ki jòdi-a, 21 désanm, sé "Jounen Lajwisans Toutwonlatè" pis nou tout la adan an sel bankoulélé dépi yonndé mwa épi zafè viris-tala.
On peut ne pas aimer Chaben, on peut détester le "Gran Sanblé pou Ba Péyi-a an Chans" (ou ce qu'il en reste), on peut critiquer l'action de la CTM sur tel ou tel point.
À l'occasion de la journée mondiale de la langue arabe, le lexicologue Jean Pruvost, nous raconte comment cette langue s'est inscrite dans l'Histoire et la langue française, et nous explique que chaque jour nous utilisons de nombreux mots arabes.
Chacun se souvient de l'euphorie qui avait accompagné l'alliance pas si insolite que cela entre les six partis constituant le "Gran Sanblé" et la Droite de "Ba Péyi-a an Chans".
Pas si insolite parce que la gauche autonomiste et le PPM avait déjà eu l'occasion de faire alliance avec une fraction de la Droite (Osons Oser, Parti Régionaliste Martiniquais etc.). Rien de bien nouveau sous le soleil tropical donc ! Sans remonter au fameux "Bout de Chemin avec l'Usine" de Joseph Lagrosillière au début du XXe siècle, on ne compte plus ce genre d'alliances dans la vie politique martiniquaise.
Le maire Christian Rapha et une délégation d’élus de Saint-Pierre ont visité le chantier du CIAP, le Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine ce mercredi 16 décembre, rue Victor Hugo.