Dans les premières années du XXe siècle, un clown noir, l'un des seuls de l'époque, s'est acquis une renommée extraordinaire en faisant le pitre (le nègre ?) sur toutes les scènes de France et d'Europe à la grande hilarité d'un public ouvertement raciste (de nos jours, la politesse exige de masquer son mépris, hormis chez de gros beaufs comme Le Pen, Morano ou Zemour). Puis, l'homme a été oublié jusqu'à ce qu'un universitaire, sans doute en mal de sujet de thèse, le redécouvre, écrive un livre sur lui et que le cinéma finisse par s'en emparer.
Nous sommes un peuple réputé pour avoir la mémoire courte. Fort heureusement, la création de l'Internet est venue à notre secours et nous permet ainsi de nous remémorer soit des écrits soit des images qui autrement auraient disparu corps et bien dans le flot de nos fragiles souvenirs. C'est ainsi que dans la vidéo ci-après, on peut voir trois élus du PPM, Catherine CONCONNE (à l'époque vice-présidente du Conseil régional), Didier LAGUERRE (maire de Fort-de-France, ce qu'il est encore) et Jean-Claude DUVERGER (à l'époque conseiller général et aujourd'hui conseiller territorial) se trémousser en plein podium sur l'air d'une chanson débile qui invitait les gens "à cabrer la moto".
Les Personnels du lycée Max JOSEPHINE avaient de quoi afficher leur satisfaction, après la 2ème place de leur lycée, dans un classement plus juste qui récapitule d’autres paramètres que les seuls et purs résultats scolaires. Sont pris en compte par exemple des critères comme la condition sociale des lycéens, et les résultats obtenus par Max JOSEPHINE sont supérieurs à ceux attendus. La Valeur Ajoutée du Lycée professionnel Max JOSEPHINE sur la réussite au Bac de ses élèves est donc très positive.
Michèle BENETT est l'ex-épouse de Jean-Claude DUVALIER, fils de François DUVALIER, le premier nommé ayant succédé à son père avant d'être chassé du pouvoir et de trouver refuge en France où il se remaria à une Française. Revenu il y a quelques années en Haïti, il est décédé d'une crise cardiaque...
Mesdames et Messieurs les membres de la communauté universitaire,
Monsieur Alain Yacou, Professeur de civilisation hispano-américaine à l'UAG est décédé ce mercredi. Madame la Présidente de l'Université des Antilles transmet, au nom de la communauté, les plus sincères condoléances à sa famille. Elle exprime aussi sa vive émotion et ses sentiments les plus dévoués à un professeur de renom, brillant et dévoué, qui a remarquablement contribué au rayonnement et à l'épanouissement de notre institution.
Je pleure la disparition du Professeur émérite des Universités Alain Yacou, spécialiste de Cuba, mon ancien directeur de thèse, l'homme qui me fit découvrir Cuba, Alejo Carpentier, Manuel Moreno Fraginals, Julio Le Riverend et tant d'autres... Gracias Profesor Yacou, gracias por el amor que sembró a largo de su carrera, gracias por los conocimientos difundidos por todo el Caribe, gracias por contribuir al desarrollo de nuestra juventud caribeña, gracias por ser el cimarrón que nos enseñó que era verdad que "todo lo que hizo la Revolución Francesa fue legalizar la gran cimarronada que no cesa desde el siglo dieciseis". Gracias por decirme "hijo" tantas veces y por hacerme sentir su orgullo y su apoyo de padre. Que Dios lo tenga en su Gloria y que en paz descanse.
Immense poète, romancier, dramaturge mais aussi peintre, musicien, comédien, l'écrivain haïtien Frankétienne vient de publier "Les affres d'un défi", un titre qui lui va bien, où il bouscule à nouveau les mots comme personne.
Simenn pasé pa koté Lanmanten kou-tala sé pa té nonm selman mé tout an pep ki té an nouvo pisin-an pou té sipòté sé najè-a Matinik-la épi ta lézot péyi karayib-la.
Acculé par la justice, 7 fois inculpé, placé sous contrôle judiciaire strict (saisie de son passeport + obligation pour lui de se présenter deux fois par semaine à la brigade de gendarmerie la plus proche de son domicile + interdiction d'entrer en contact avec une quinzaine d'universitaires et de politiques), l'ex-chef mafieux du CEREGMIA, Fred CELIMENE, ne sait plus où donner de la tête. Après avoir, avec son compère Romain CRUSE envoyé plus d'un millier de mails diffamatoires en 3 ans contre la Présidente de l'Université des Antilles et le doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines, il s'est reconverti récemment en blogueur. RACHMABAB tel est son nouveau joujou. Il est vrai qu'il a du temps puisqu'il est suspendu de son poste avec salaire (plus de 6.000 euros par mois) et est interdit d'accès au campus de Schoelcher. Disposant de tout son temps, il aurait pu en profiter au moins une fois dans sa vie, pour se consacrer à une activité intellectuelle lui qui est un véritable imposteur avec un H-INDEX et un IMPACT-FACTOR quasi-nuls. Ces deux mesures de l'activité intellectuelle et de la valeur de cette dernière sont des outils internationaux utilisés par toutes les universités du monde pour mesurer le niveau et l'impact des enseignants-chercheurs. Mais nous reviendrons plus en détail dans un autre article très détaillée qui démontrera ladite imposture.
En moyenne, dans le monde, on compte 101,8 hommes pour 100 femmes. En Martinique, il y a seulement 84,5 hommes pour 100 femmes. «L’île aux fleurs», comme on l'appelle aussi, compte près de 400.000 habitants. Et largement plus de la moitié sont des femmes. D'après une carte du Pew Research Center, centre de recherche américain, elle est la région du monde qui compte le moins d'hommes: 84,5 pour 100 femmes. La Guadeloupe n'est pas loin, avec 86 hommes pour 100 femmes.
Didier LAGUERRE, maire PPM de Fort-de-France, vient d'entrer en guerre contre la décision de la CTM de ne pas faire de rentrée au lycée Schoelcher en septembre 2016 et d'en dispatcher provisoirement les élèves dans d'autres lycées de Fort-de-France. Le premier édile de la ville-capitale oublie qu'à l'époque où Alfred MARIE-JEANNE était président de l'ex-Conseil régional, il avait fait élaborer un projet de démolition et de reconstruction de l'établissement lequel est menacé par le vieillissement de ses structures et par le fait qu'il n'est évidemment pas anti-sismique vu son âge vénérable. A l'époque, la municipalité de Fort-de-France avait refusé le permis de démolition sous des motifs divers et variés parmi lesquels celui qui voudrait que les Patriotes cherchaient à effacer la mémoire et du grand abolitionniste Victor SCHOELCHER et celle du prestigieux établissement qui porte son nom parce que ce dernier serait un des symboles de la "mulâtraille".
Serge LETCHIMY, leader du parti de la Négritude à savoir le PPM, siège dans les rangs du Parti socialiste à l'Assemblée nationale et soutient donc un gouvernement dont le premier ministre Manuel VALLS, quand il était maire de la ville d'Evry, avait lancé à ses collaborateurs, lors de la visite d'un marché public sur lequel il y avait des vendeurs arabes et noirs : "Mettez-moi plus de Blancos, de Whites, de Blancs !"
Pour ceux qui n'ont pas pu suivre la dernière plénière de la CTM consacrée en grande partie aux questions financières, nous donnons à regarder la vidéo ci-après dans laquelle Alfred MARIE-JEANNE, président du conseil exécutif, explique et démontre de manière implacable à quel point les LETCHIMY, CONCONNE, ROBIN et autres CHOMET ont été inconséquents dans leur gestion de l'ex-Conseil régional.
On la disait écrabouillée, atomisée, vitrifiée même depuis au moins deux décennies si ce n'est davantage. Electoralement, en effet, elle ne faisait que subir défaite sur défaite aux municipales, aux cantonales, aux régionales, aux législatives et aux sénatoriales. Au point que, de guerre lasse et de peur de finir au fond des abysses, une partie d'entre elle décida de se séparer, de se déclarer "progressiste" et de rejoindre la coalition EPMN menée par le PPM et Serge LETCHIMY.
Madame la Ministre, Madame l’ambassadrice déléguée à la coopération régionale Mesdames, Messieurs les représentants de l’Etat, Mesdames, Messieurs les représentants des collectivités de Guadeloupe, de Guyane, de Saint-Barthelemy, et de Saint-Martin, Mesdames, Messieurs,
La CTM a voté un compte administratif en déficit et les principaux responsables de cette situation catastrophique dont toute la Martinique hérite, n’ont rien trouvé de mieux à faire que de contester et ricaner sans arrêt.