Pour justifier son refus de voter la subvention de 500.000 euros par la CTM à la série télévisée Tropiques criminels, le conseiller territorial Nilor s'est exclamé sur les médias : "Déjà, "Tropiques", c'est humiliant pour nous !".
Nul n'a besoin d'être docteur en droit ou grangrek pour comprendre que l'actuelle architecture de la CTM demande à être amendée afin d'éviter les dysfonctionnements et les troubles qu'ils ont provoqués tout au long de la mandature qui s'achève.
C'était sur RCI (Radio-Caraïbes International) en ce beau dimanche ensoleillé du mois de mai. Le député du sud et co-président de "Péyi-a" était l'invité d'une émission politique de cette station, émission au cours de laquelle différents sujets ont été abordés.
Que des grévistes décident d'enchaîner les portes de leur lieu de travail pour faire entendre leurs revendications est chose assez courante en Martinique. Cela témoigne de leur exaspération devant le refus de leur employeur de les entendre ou alors d'une volonté de déchouquer ledit employeur.
Dans le courrier qu'on découvrira ci-après, le maire de Saint-Pierre, Christian RAPHA, pointe du doigt la curieuse communication de l'Observatoire Vulcanologique et Sismologique de la Martinique depuis que la Montagne Pelée a été placée en "vigilance jaune". Communication qui a des conséquences graves non seulement pour sa ville mais aussi pour toutes les communes se trouvant dans le périmètre du volcan...
Dans la collection Miniatures, chez Magellan &Co, ce recueil de nouvelles, sous la direction de Alexis Bernaut. Six regards sur la Martinique, telle que nous la vivons en ce début du XXIème siècle.
Viktor Lazlo « Zwèl »,
Charles-Henri Fargues « Le jour où la yole bleue gagna le Tour de Martinique »,
Marijosé Alie-Monthieux « La belle et le pitt »,
Gaël Octavia, « Le dernier piqué de la tourterelle à queue carrée »,
Suzanne Dracius « Le marathon du macho, le martyrologue du major et le calvaire du coqueur »,
Contrairement à ce que fait croire un article complaisant de France-Antilles du lundi 19 avril 2021 sur le conseil municipal de Fort-de-France du mardi 13 avril, la présentation des comptes financiers de la Ville ne fut pas une simple formalité.
Si le compère-lapinisme pouvait se comprendre à l'époque effroyable de l'esclavage, le Maître étant tout puissant, s'il pouvait à la rigueur se comprendre après l'Abolition, le patron béké étant lui aussi tout puissant, que dire de celui qui s'est développé depuis 1946 ?
Le leader de la droite martiniquaise a donc organisé une conférence de presse pour annoncer sa candidature comme tête de liste du mouvement "MI CHANS MATINIK" aux élections territoriales de juin prochain.
Telle est la difficile décision qu'a dû prendre le CHU de Martinique à cause de l'explosion des cas de covid (60 en moyenne par semaine en janvier contre 800 aujourd'hui) et l'afflux de malades.
La France n'avait pas voté de texte de loi sur les langues régionales depuis 1951 (Loi Deixonne) c'est-à-dire depuis exactement...70 ans. Portée par le député du Morbihan, Paul Molac, cette deuxième loi a été votée à une large majorité par l'Assemblée nationale française.
Si la Martinique dispose d'assez bonnes routes dans ses parties urbanisées, maintes campagnes doivent encore se contenter de mauvais chemins empierrés, remplis de trous, qui sont souvent ravinés en période d'hivernage.
Afos simen kouyon, afos rakonté ki zafè kovid la sé an konplosité kolonialis, afos fè kannaval, gran-penteng, swaré, lafet kisasayésa, enben mi koté nou rivé jòdijou !
Tout les Martiniquais l'ont constaté : les prix du bidon de gaz et de l'essence se sont envolés depuis 2020, rendant encore plus difficile la vie des ménages défavorisés.