Sait-on suffisamment que 95% de l'univers nous est inconnu ? Ou plutôt que cet univers est composée d'une matière inconnue dite "matière noire" dont on ignore totalement de quoi elle est faite et qui est très différente de la matière normale. En plus de cela, il existe aussi une énergie également dite "noire" dont les cosmologistes ont déduit l'existence mais qu'ils ne parviennent toujours pas à décrire ni à expliquer...
Il y a cent ans, Albert Einstein montrait que la matière déforme l'espace et le temps et de cette déformation nait la gravité. La matière en mouvement donne naissance à des ondes d'espace et de temps, les ondes gravitationnelles, qui se propagent sur de grandes distances. Ce sont ces ondes que les deux détecteurs américains du Laser Interferometer Gravitational-wave Observatory (LIGO) ont observé pour la première fois en septembre dernier. La première onde reçue par LIGO, ainsi que les autres observées depuis, proviennent de la fusion de deux trous noirs situés à des milliards d'années-lumière de la Terre. Avec cette découverte, s'ouvre une nouvelle fenêtre d'observation de l'Univers donnant notamment accès à des objets astrophysiques obscurs, qui émettent peu ou pas de lumière. L'astronomie gravitationnelle se développera dans les prochaines années grâce à un réseau international d'observatoires, dont le détecteur franco-italien Virgo. La présentation donnera une vue d'ensemble de ce domaine scientifique en plein essor.
La description de l'univers a fait depuis les années 1990 un bond fulgurant, depuis la théorie de la Relativité générale d'EINSTEIN (1915), en découvrant que celui-ci était composé de 70% d'énergie noire, totalement inconnue à ce jour, 25% de matière noire à propos de laquelle les physiciens commencent tout juste à émettre des hypothèses et seulement 5% de matière dite normale c'est-à-dire celle qui nous forme, nous les humains, ainsi que la terre, l'air, les étoiles, les galaxies etc...
Conclusion : nous ne connaissons en fait que 5% de l'univers...
La théorie de la relativité générale d'Albert Einstein n'est pas compatible avec la physique quantique qui décrit le comportement des atomes et des particules, l'autre grand fondement de la physique. Faut-il donc aller plus loin, trouver la théorie « qui unifie tout » ?
Cette maladie qui touche 10 à 15 % des femmes, se caractérise par le développement de l’endomètre en dehors de l’utérus. Cela peut entraîner le développement de nodules ou de kystes au niveau des ovaires mais plus grave au niveau du rectum, vagin ou de la vessie, avec pour conséquences des douleurs pelviennes intenses ou encore des douleurs vives pendant les règles ou les rapports sexuels. De nouveaux matériels, comme le Plasmajet (c’est un outil de dissection nouvelle génération) utilisés à la polyclinique du Parc Rambot, à Aix, permettent une chirurgie de haute précision, d’éradiquer les lésions tout en protégeant les tissus sains et limitent les risques d’infertilité. Et les femmes retrouvent un confort de vie.
Le concept de Temps est l'une des tartes à la crème de la philosophie et un sujet de baccalauréat non moins tarte à la crème. Sauf que les philosophes ignorent superbement les avancées de la science et font comme s'il est possible de parler du Temps aujourd'hui sans prendre en compte la Relativité générale (Einstein) et la Physique quantique (Dirac, Planck, Heinsenberg etc.). Cela serait risible si ce n'était pas tragique et ne contribuait pas à élargir le fossé entre les sciences dites "dures" d'un côté et la philosophie et les sciences dites "molles" de l'autre. Fossé qui à mesure qu'il s'élargit donne à la philosophie et aux sciences molles l'aspect d'un charlatanisme verbeux.
Etienne KLEIN, physicien et surtout philosophe des sciences, nous explique dans la vidéo ci-après comment il convient d'analyser désormais ce concept...
Si la culture générale littéraire ou en sciences humaines est quelque chose d'admis et même d'exigé dans certains concours, il n'en va pas du tout de même de la culture générale scientifique. Cette notion est d'ailleurs à peu près inusitée, or nous vivons dans un monde de plus en plus dominé par les inventions scientifiques au sein desquelles nous nous mouvons comme des enfants à Disneyworld. Nous utilisons ainsi téléphones portables, ordinateurs, GPS et autres sans savoir, même sommairement, comment ils fonctionnent. Or, on peut lutter contre cet analphabétisme scientifique par la vulgarisation et les conférences scientifiques pour le grand public comme celles ci-après du Pr ASPET sur le concept de lumière en physique...
Le réchauffement a affecté tous les compartiments du climat, de la hausse du mercure à l’élévation des océans en passant par la chute des surfaces de banquise.
Cocorico. Yves Meyer, mathématicien de l’École normale supérieure Paris-Saclay, âgé de 77 ans, vient de recevoir le prix Abel. Son travail et notamment son rôle majeur dans le développement de la théorie mathématique des ondelettes ont été récompensés.
Les activités humaines sont en train de laisser une empreinte profonde dans les couches géologiques. En effet, dans leur inventaire, des chercheurs viennent d'ajouter 208 minéraux qui se sont tous (ou presque) formés très récemment à l'échelle géologique et qui n'ont pas directement d'origine naturelle. Ce sont autant de témoignages de l'ère dite « de l'Anthropocène », celle dans laquelle notre planète est profondément modifiée par l'action de l'Homme.
La gravitation quantique à boucles est une théorie qui tente de concilier la physique d’Einstein avec la physique quantique. Elle pourrait bien bouleverser notre vision de l'univers, notamment celle des trous noirs et du Big Bang.
Asiparé lasians fè an bidim solibo-douvan épi zafè yo dékouvè an bann planet-andéwò ki ka sanm ta nou an, kivédi latè. Sa ka fè nanni-nannann éti sé astwofizisien-an ka chaché sav es adan linivè pa té ké ni tjek planet ka sanm ta nou an éti, tjek siek ka vini, yich ti-yich nou té ké pé enstalé kò-yo. Poutji ? Sé davwè ni pliziè mové bagay ka minasé latè : dabò-pou-yonn, adan 5 milia lanné, soley-la ké déblozé ek latè pé ké ni pies zétwel pou kléré'y ankò ek soutou, pou chofé'y ; déziem bagay, ni an lotlapousinè éti tit-li sé Andwomed ki ka vansé gran balan anlè lapousiniè-nou an (éti soudnon'y sé "Chimen-lablanni") ek adan yonn-dé lanné-limiè, Andwomed ké fè an blo épi Chimen-lablanni ; twaziem bagay, lalin ka élwagné kò'y di 4 santimet chak lanné di latè ek menm si sé pa anpil distans, an jou, lalin ké two lwen nou ek i pé ké pé jwé wol-li asou lanmaré. Ni dot bagay ka minasé latè ek lapousiniè-nou an ankò, me sé sé twa tala ki pli danjéré.
Des anthropologues russes ont découvert des restes d’hominidés de l’Altaï dans la grotte de Denisova, en Sibérie. Une étude a été publiée dans Nature en 2011 démontrant que le code génétique de ces anciens humains était très différent de celui de l’humain moderne, annonçait un scientifique dans le rapport.
Le physicien théoricien Erik Verlinde suggère que la gravité est un phénomène émergent et que la matière noire n’existe pas. Cette idée vient de passer un premier test avec succès.
Chef du service de chirurgie hépatobiliaire et digestive du CHU Pontchaillou, le professeur Karim Boudjema est un des grands spécialistes mondiaux de la transplantation hépatique. Il en a déjà réalisé plus de 1 000. Un homme passionné par son métier mais aussi un extraordinaire transmetteur de savoir.
2 h 30 du matin. Karim Boudjema masse délicatement le foie qu’il vient de greffer dans le ventre de son patient. « À chaque fois je suis émerveillé de voir cet organe reprendre vie dès qu’on le revascularise. Il y a un côté magique », explique-t-il.
Elle avait coutume de dire que les prix lui importaient peu. Manière élégante d’éviter toute polémique avec le plus célèbre d’entre eux, le Nobel, qu’on lui promettait depuis bien longtemps. Vera Rubin, qui avait mis en évidence l’existence de la matière noire, cette masse invisible de l’univers, ne décrochera pas la prestigieuse récompense. L’astronome américaine est morte dimanche 25 décembre à l’âge de 88 ans.
Interview de l’astrophysicien Trinh Xuan Thuan à l’occasion de la sortie de son ouvrage La Plénitude du vide (en librairie le 1er septembre), éd. Albin Michel.
Les erreurs médicales sont la 3e cause de décès aux États-Unis après les maladies cardiovasculaires et le cancer, avec environ 250 000 morts par an, selon les calculs de deux experts publiés dans la revue British Medical Journal (BMJ).
La dernière étude internationale « Trends in Mathematics and Science Study » montre que le niveau en terminale S a baissé de 107 points depuis 1995. Une dégringolade qui ne surprend pas les professeurs de mathématiques du supérieur.