Je m’excuse à l’avance, il est possible que la poussière ne soit pas encore retombée. Avant de lire ces quelques lignes, il faut mettre de coté la sensibilité et la compassion pour les gens qui ont perdu leur maison. Sans coeur, aussi immonde que ça puisse paraître, il faut faire abstraction de ces vies chamboulées. Il y a parfois des événements ironiques dans la vie. Des situations qui nous permettent de penser autrement, en perspective, à quelque chose de plus grand.
La Cour suprême du Canada a rendu une décision historique jeudi en reconnaissant que plus de 600.000 Métis et Indiens sans statut constituaient des « Autochtones » au sens de la loi, mettant fin à une bataille judiciaire de 17 ans.
The Mohawk nation is threatening to do everything legally in its power to block the Energy East pipeline project, calling it a threat to their way of life.
La Commission vérité et réconciliation a conclu dans un rapport que le gouvernement canadien et les autorités religieuses avaient mis en place, en plaçant les enfants amérindiens dans des «pensionnats autochtones», une politique de «génocide culturel».
Dans son discours du 1er juillet 2011, à la 32ème réunion ordinaire de la conférence des chefs d’État et de gouvernement de la CARICOM, le Président de la République d’Haïti, Monsieur Joseph Michel Martelly, a fait la proposition d’intégrer la langue française dans cette organisation régionale. Voilà les propos exacts du Président à ce sujet: « […] je recommande au Groupe de Travail Intergouvernemental sur la Révision du Traité de Chaguaramas d’ajouter à son agenda la question de la diversité linguistique au sein de notre communauté et de l’intégration du français comme langue officielle et de travail au niveau du Secrétariat et des autres instances de la CARICOM ». Puisque c’est l’État haïtien qui préside actuellement la Communauté jusqu’en juin 2013, le Président Martelly est, de fait, bien placé pour faire avancer son dossier d’inclusion du français aux côtés de l’anglais.