"Ce à quoi nous avons survécu pendant l’été 2014 prendra tout le temps d’une vie pour s’adoucir. Cela restera toujours comme une cicatrice sur notre psyché jusqu’à ce que justice soit faite aux victimes qui sont mortes et que la liberté pour laquelle nous avons payé cet énorme prix soit gagnée, jusqu’à ce qu’Israël soit tenu pour responsable, dénormalisé et traité pour ce qu’il est en réalité : un État colonial.
Lire cet article d'Electronic Intifada de Shahd Abusalama, artiste palestinienne de 23 ans et bloggeuse de Gaza en français sur le site de l'Agence.
A lire également à ce sujet, la déclaration du Bureau des Nations-Unies pour la coordination des Affaires humanitaires (OCHA) dans les Territoires palestiniens occupés : Gaza un an après : la crise n’a jamais cessé