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Nous n'avons pas honte et ne regrettons pas s'avoir combattu le CEREGMIA !

Nous n'avons pas honte et ne regrettons pas s'avoir combattu le CEREGMIA !

     Décidément rien, vraiment rien, n'arrête ceux qui, sur le campus de Schoelcher (Martinique), fort de l'appui de la gouvernance de l'Université des Antilles (sise en Guadeloupe), violent en permanence la démocratie en terrorisant les femmes démocratiquement élues sur le Pôle Martinique.

   C'est ainsi que la vice-présidente du Pôle Martinique, Odile FRANCOIS-HAUGRIN, avait été copieusement insultée par l'un d'eux lors d'une réunion en visioconférence avec le Pôle Guadeloupe sans que la gouvernance de l'établissement, qui animait cette réunion, juge utile de rappeler à l'ordre l'énergumène qui en était l'auteur. Bien avant ce peu glorieux épisode pour un établissement qui est censé être "d'études supérieures", une professeur de géographie "métro" avait, elle aussi, subi un torrent d'injures demeurées impunies.
   La semaine dernière un nouveau cran a été franchi dans l'ignominie : c'est le doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines, le Pr Cécile BERTIN-ELISABETH, qui a vu ses dossiers être violemment jetés sur le sol par l'un des énergumènes lequel l'aurait sans doute frappée sans l'interposition d'un collègue masculin. Cela en pleine réunion du Conseil de Faculté ! Le doyen a alors, fort légitimement, dénoncé ce qu'elle a appelé un processus "d'animalisation de l'Université des Antilles". Or, l'agresseur, n'ayant pas froid aux yeux et assuré du soutien de la gouvernance de l'établissement a riposté dans un mail à la fois confus et haineux accompagné d'une photo où l'on voit C. BERTIN-ELISABETH avec une pancarte lors des barrages filtrants qui avaient été mis à l'entrée du campus de Schoelcher pour empêcher le retour du trio du CEREGMIA (F. CELIMENE, K. LOGOSSAH et E. CARPIN).
   Dans la petite tête de l'agresseur, il s'agit d'une photo infâmante !!!
   Or, ce qui est infâmant et lâche au contraire, c'est de n'avoir jamais levé le petit doigt pour lutter contre le CEREGMIA qui, rappelons-le est soupçonné par diverses instances (notamment la Cour des comptes, le Sénat et l'IGANER) d'avoir détourné des millions d'euros de fonds européens au détriment de l'Université des Antilles. Ce qui est infâmant c'est ensuite d'avoir tenté, au nom d'une pseudo "politique d'apaisement" de réintégrer le trio du CEREGMIA sur lequel pèse 7 mises en examen, exigeant même qu'un emploi du temps leur soit préparé !!! Fort heureusement, le Conseil d'Etat les a radiés pour la deuxième fois. Et définitivement...
   Ce qui est infâmant c'est d'avoir recruté des voyous munis de bracelets électronique en guise de vigiles pour empêcher les barrages filtrants, voyous qui, bien évidemment, n'avaient aucun uniforme d'aucune société de sécurité officiellement déclarée. Agir de la sorte revient à ce montrer complice objectif du CEREGMIA !
   Ce qui est infâmant et lâche enfin, c'est de s'en prendre à des femmes, toujours des femmes.
   Aucun de celles et ceux qui ont combattu le CEREGMIA n'a honte de l'avoir fait ni ne le regrette. Que les énergumènes le sachent une fois pour toutes ! Qu'ils sachent aussi que nous ne molliront pas pour eux, que nous n'accepterons pas leurs injures et leurs menaces et que chak kochon ni sanmdi-yo !...
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