Au lendemain du deuxième tour des élections municipales se sont donc tenus les tous premiers conseils municipaux.
Ce fut le baptême du feu pour des personnes élues pour la première fois à ce poste, notamment pour certaines femmes. On scrutait donc leurs toutes premières décisions et ça n'a pas tardé. On en a eu pour notre argent (si l'on peut dire).
C'est ainsi qu'en Gaule, enfin dans l'Hexagone, en France continentale si vous préférez, "Là-bas", dans l'Amère-patrie, quoi !, une mairesse fraichement élue, celle de la ville de Poitiers (ben oui, là où cet enfoiré de Charles arrêta les Sarrasins), mairesse écologiste, a décidé de baisser son salaire d'un...tiers. Bigre ! Ca fait combien déjà ? 1.500 euros. Pas mal du tout, ma p'tite dame !
A l'inverse, dans ce "lambeau de terre palpitant sous d'autres cieux" (dixit Charles, l'autre, celui du 18 juin), l'île aux iguanes selon ses premiers habitants aujourd'hui tombés dans les oubliettes de l'Histoire, l'île aux fleurs selon ses nouveaux habitants, territoire ultra-marrant selon sa dénomination officielle, eh bien, une mairesse fraîchement élue dans la commune de Ducos (patronyme d'un colon raciste), a décidé de faire exactement l'inverse de sa collègue hexagonale : elle s'est augmentée de 350 euros.
Mais évitons toute critique car il s'agit simplement de démocratie participative (les adjoints de ladite mairesse ayant, eux, accepté de baisser leur indemnité afin qu'elle puisse s'augmenter) et de sauvegarde de PEYI-A...
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