Il n'y a pas si longtemps, la Droite martiniquaise refusait le 22 mai et certains en niaient même l'importance.
Visiblement, les choses sont en train progressivement de changer même si le discours demeure très "Mère-patrie". Vouloir bousculer les Martiniquais ne sert à rien. Il faut mieux avancer "ti pa- ti pa" comme aiment à dire nos Anciens et saluer ce qui est une avancée dans la prise de conscience de ce que nous sommes.
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Commémoration de l'abolition de l'esclavage à Saint-pierre, ville berceau des évènements du 22 Mai.
La délégation pierrotine, réduite en ces circonstances de pandémie, à reçu le Préfet de Martinique venu témoigner que « L’esclavage, ses victimes, et les combats pour son abolition font partie de notre histoire de France."
Le Maire de Saint-pierre a affirmé dans son discours que "le 22 mai, appartient à la Martinique tout entière, à tous les Martiniquais et qu’au-delà de la Martinique, elle appartient à la France entière et ... qu’il porte un message universel au monde entier."