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Jik An Bout n°175

Jik An Bout n°175

Partout dans le monde, les gouvernements des pays impérialistes et capitalistes orchestrent la mise en place d’une implacable dictature planétaire. Dans un texte en quatre parties, nous proposons des éléments le démontrant, selon nous, de façon incontestable.

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Commentaires

Michel P. | 28/10/2020 - 12:56 :
1) L'éditorial est tellement surréaliste qu'il décourage les commentaires. 2) Prenons seulement la photo de Macron qui l'illustre. Associée à la photo d'une intervention des forces de l'ordre, on a l'impression que Macron exhorte les policiers à la violence. 3) Bien entendu, c'est une manipulation. La photo de Macron a été prise début 2017, pendant la campagne des présidentielles, lors de son célèbre discours "Car c'est notre projet !" 4) L'enthousiasme hystérique du candidat est grossièrement détourné.
michel mirgan | 28/10/2020 - 23:57 :
N'importe quoi !!! Pas un mot bien sûr des vraies dictatures comme La Corée du Nord ou la Chine qui se réclament pourtant explicitement de la dictature du prolétariat .
Firmin G. | 29/10/2020 - 00:50 :
La dictature du Capital est "aussi pire" que la dictature du prolétariat. Aux Etats-Unis, on abat des Nègres à tous les coins de rue et les suprématistes blancs agissent en toute impunité. Quant aux travailleurs sud-américains, ils sont traités comme des semi-esclaves, notamment dans l'agriculture. En France, Nègres et Arabes se retrouvent parqués dans des banlieues sordides alors que la France d'après-guerre (1939-45) s'est reconstruite en grande partie grâce à leurs centaines de milliers de bras. Les fameuses Trente Glorieuses" ont reposé sur les épaules des mineurs marocains, des ouvriers du bâtiment algériens, des ouvriers d'usine arabes, africains et antillais, des éboueurs maliens et sénégalais, des filles de salle, des ASH et des facteurs antillais etc...
Michel P. | 29/10/2020 - 08:30 :
1) Après-guerre, l'habitat traditionnel en France avait été partiellement détruit. Il était vieillissant, souvent sans confort. C'était une époque de "bidonvilles" et d'entassement de trois générations dans le même logement. Un gros effort de construction fut fait, sous la forme de grands immeubles avec toutes les commodités modernes : tout-à-l'égout, salle d'eau, etc. Ces logements étaient très prisés des classes moyennes qui faisaient des pieds et des mains pour en obtenir un. 2) Les classes moyennes s'enrichissant, furent incitées à s'orienter vers les banlieues pavillonnaires. Les immeubles qu'elles occupaient se trouvèrent dès lors investis par d'autres, surtout par des immigrés qui se constituaient en familles. 3) Force est de constater que les immeubles jadis prisés se dégradèrent vite, jusqu'à former des "banlieues sordides". A tel point que nombre de ces immeubles durent être détruits.
Firmin G. | 29/10/2020 - 11:10 :
"Un gros effort de construction fut fait sous la forme de grands immeubles avec toutes les commodités modernes". En effet, mais ils ont été surtout construits grâce au labeur des bougnoules et des négros ! Entre 1965 et 1980, 3 accidentés du travail sur 5 dans les chantiers du bâtiment étaient des immigrés, selon des chiffres officiels. Et parmi ces 3 accidentés, un décédait et un autre était handicapé à vie. Comme quoi tomber d'un échafaudage d'immeuble en construction est plus dangereux que de plonger dans une piscine pavillonnaire.

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