Puisqu'il faut bien sacrifier à la coutume idiote de désigner l'homme et la femme de l'année, allons-y !
Dans ce pays qui va à vau-l'eau, entre compère Lapins petits bourgeois d'un côté et de l'autre, révolutionnaires du dimanche devant les supermarchés békés, entre Békés scélérats et hypocrites justement, d'un côté et de l'autre, Mulâtres "gros Diable" en chemise blanche et cravate, entre élus (es) satisfaits et profiteurs de toutes obédiences politiques d'un côté et une jeunesse déboussolée, "kalashisée", de l'autre, entre curés et Monseigneurs aussi faux-culs que leurs confrères pasteurs d'un côté et de l'autre, les donneurs de leçon à deux balles voulant nous faire prendre de l'eau de mouchach pour du lait en agitant l'Egypte antique, Hailé Sélassié ou Marcus Garvey comme remèdes-miracle, le (la) Martiniquais (e) ne sait plus où donner de la tête.
En fait, il est tjou-pou-tet face à un tel bankoulélé d'enfants gâtés par l'Amère-Patrie et l'Europe hautaine.
Du coup, le personnage de l'année ne peut être que GEORGES, le fameux crocodile ou wè'y-ou pa wè'y de la rivière La Lézarde...
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Véyative | 04/01/2020 - 21:36 :
Moi j'ai bien aimé la hardiesse du mulâtre "gros diable", il peut être l'homme de l'année non?
Par contre "Monseigneur faux cul" : ouille, ouille , il faudra dire 2 pater et 3 ave pour vous faire pardonner...
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