Nous nous attendions à cette mauvaise nouvelle et nous la redoutions. Gabriel GALLION va porter sa plume en d’autres lieux, peut-être aux cieux...
Gabriel, c’était, de prime abord, un personnage bourru ou un être sensible se protégeant par une épineuse carapace ; un hérisson tropical.
Mais Gaby c’était aussi un journaliste ayant le respect du secret professionnel protégeant ses sources et respectueux des confidences.
Sa curiosité intellectuelle et sa rigueur professionnelle étaient rarement prises à défaut.
Sa maladie nous aura, déjà ces derniers mois, fait remarquer son absence faute de pouvoir lire ses analyses politiques, souvent pertinentes jamais complaisantes.
A ses proches, aux confrères et amis de France Antilles j’adresse mes condoléances et partage leur chagrin.
Guy FLANDRINA