Fred Célimène, l’ex-directeur du CEREGMIA (suspendu de son poste, avec salaire, pour un an), inonde le Net depuis des mois avec des mails tantôt insultants envers la présidente de l’UAG (ce qui lui a valu une plainte en diffamation et harcèlement moral) tantôt mensongers envers le doyen de la Faculté des Lettres, quant à la crise que traverse l’UAG depuis le mois d’octobre de l’an dernier.
S’agissant du premier type de mails, les victimes de ses insultes préfèrent ne pas répondre pour continuer de sauver l’université. Heureusement des citoyens outrés réagissent pour dénoncer les contre-vérités que diffuse sans vergogne Fred Célimène.
Suite aux toutes dernières contre-vérités, il convient de rétablir les faits en cinq points :
- 1. Alors que l’information judiciaire a été ouverte contre X, Fred CELIMENE et Kinvi LOGOSSAH se sont dépêchés de prendre des avocats. Curieux pour des personnes qui se prétendent innocentes !
- 2. La présidente de l’UAG avait programmé un CA le 15 octobre 2013 (seulement 6 mois après son élection !) pour attribuer plus de postes à la Guyane. Seule présidente à avoir inscrit ce rééquilibrage des postes dans sa profession de foi, Corinne Mencé-Caster a eu le courage de vouloir partager avec la Guyane les moyens de l’UAG. Les Guyanais ont préféré mépriser son offre et sortir de l’UAG, soutenus en cela par la Garde des Sceaux. C’est pourquoi depuis octobre 2013, la gouvernance de l’UAG, portée par les étudiants des 3 pôles, se bat pour éviter cet éclatement. Fred CELIMENE et Kinvi LOGOSSAH et Georges VIRASSAMY ont tous trois rédigé des projets (pardon : des pseudo-projets) d’Université de la Martinique. Ils souhaitaient sans doute accélérer la scission de l’UAG en 3 micro-universités pour afin de faire disparaître l’UAG comme entité juridique capable de leur demander des comptes sur leur gestion. Après l’intersyndicale de Guyane, ils ont félicité celle de la Guadeloupe, alors qeu ces deux intersyndicale étaient toutes deux engagées dans le processus de démantèlement accéléré de l’UAG. Curieux pour des personnes qui accusent l’actuelle gouvernance d’avoir fait éclater l’UAG !!! Cet éclatement, ils l’ont voulu et préparé pour faire tomber cette gouvernance qui, seule, a eu le courage de questionner leurs pratiques de gestion.
- 3. Quand on parle de « saccage » de l’UAG, il faut préciser en fait qu’il s’agit d’une véritable mise à sac de ses finances par le CDEREGMIA. Des millions à rembourser pour l’UAG à cause des voyages, de la goinfrerie et du goût du luxe d’un petit nombre !
- 4. La justice administrative, elle, a déjà fait son travail : Fred CELIMENE et Kinvi LOGOSSAH parlent désormais du dehors de l’UAG. Eh oui, c’est comme ça : ils sont à la rue, salaires en poche car c’est la loi. Qui dit mieux ?
- 5. Ce que tout le monde retiendra de cette gouvernance, c’est qu’elle aura fait éclater en moins de 18 mois un système opaque, vieux de plus de 20 ans et dont le fer de lance est le directeur du CEREGMIA ! L’UAG devait éclater de toute façon à l’horizon 2020. Mais était-elle viable, avec une telle gangrène en son sein ?
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