La nouvelle est tombée : Camille Chauvet vient d’être recruté en urgence comme professeur des universités à l’UA. Toujours dans l’urgence, il a été élu au conseil d’administration, à tel point qu’il a été même chargé par l’ex-président fantôme de l’UAG de faire des relevés de décisions, en plus d’une charge de mission « prospection et stratégie, toujours selon l’ex-président fantôme qui l’actionne à sa guise.
Non erreur : Camille Chauvet, alias l’ex-président fantôme de l’UAG qui regarde vivre l’UA derrière sa vitre (il paraît qu’on lui a fermé la porte au nez), n’est pas un membre du conseil d’administration : il est à lui tout seul le conseil d’administration, les recteurs, les collectivités, les doyens de l’UA, les étudiants.
C’est peut-être pourquoi il ne parle pas des 10 millions d’euros qui, dans son système fantôme, n’existent pas !
Il conviendra de demander à l’ex-président fantôme des 10 millions d’euros évaporés (oui comme de l’éther, on est dans le monde des fantômes !), de faire valider par l’unique membre de son conseil d’administration, à savoir Camille Chauvet, le PV du CA du 2 octobre 2015 de son université fantôme.
Petit problème : c’est que l’UAG est finie et que l’UA fonctionne avec des vrais présidents qui remboursent des vrais millions d’euros, en respectant de vraies règles, selon de vrais textes.
Trop tard !
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