Il y en a qui profitent en Martinique de la crise du coronavirus pour se remplir les poches sur le dos des personnes dotées de faibles moyens.
L'astuce est simple et elle ne concerne pas uniquement les grandes surfaces békées, mais presque toutes et même certaines supérettes : on ajoute cinquante centimes par ci, un euro par là sur le prix du pilon de poulet, le pack de yaourts ou la boite de steacks hachés par exemple, rien qui attire l'attention du consommateur fonctionnaire ou professionnel libérale, mais qui, arrivé à la caisse, assomme le "malheureux", l'ouvrier, le chômeur, la femme qui élève ses enfants seule, la personne âgée etc.
Comment les pouvoirs publics peuvent-ils cautionner pareille "vakabonnajri" ?
Ces pouvoir publics qui pourtant ne cesse d'appeler à la solidarité à longueur de journée sur toutes les chaînes de télévision. Pourquoi nos politiques, pourtant alertés, ne réagissent-ils pas ? Après tout le monde feindra de s'étonner quand il y aura des débordements...