Man ka viv ti lavi-mwen san terbolizé pèsonn, ki anba latè ki adan dlo rak sé mang-lan. Man pa ka janmen pwan men épi zot, man pa ka pwan wotè-zot, sof lè zot noz piété asou téritwè-mwen. Tit-mwen sé krab : zagaya, krab-tè, mantou, sémafot kisasayésa...
Cette expression, "Talibans", avait, beaucoup s'en souviennent, été maintes fois utilisée par Fred CELIMENE, directeur de l'ex-CEREGMIA, dans le torrent de mails injurieux qu'il adressa à la terre entière pendant les quelques quatre ans de mandature de Corinne MENCE-CASTER à la présidence de l'Université des Antilles.
Le grand écrivain italien Umberto ECO a tort quand il s'en prend de la plus féroce des manières aux fameuses NTIC ou Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication. Ou plus exactement, l'éminent sémiologue rate sa cible.
Nou pa djè enmen'y. Lè nou timanmay, nou ka gadé'y asou koté lè paran-nou ka mété'y anlè tab-la. Sé ki nou toujou tann moun di : "Fouyapen sé manjé madjendjen !". Lè nou ka vin gran, nou ka bliyé lekzistans-li ek nou simié grenyen ponm-tè adan tjek sipèmarché.
Décidément rien, vraiment rien, n'arrête ceux qui, sur le campus de Schoelcher (Martinique), fort de l'appui de la gouvernance de l'Université des Antilles (sise en Guadeloupe), violent en permanence la démocratie en terrorisant les femmes démocratiquement élues sur le Pôle Martinique.
Les violences faites aux femmes et aux filles d’outre-mer ne sont pas seulement conjugales. Elles s’inscrivent aussi dans le cadre du travail: insultes, intimidations, menaces, refus de voir une femme décider, etc. Ne laissons pas cette violence se banaliser! Réagissons pour que nos femmes et nos jeunes filles aient envie d’occuper des postes à responsabilité. Le 5 avril, tous au Musée de l’Homme à Paris pour les premières assises des violences faites aux femmes et jeunes filles d’outre-mer. Merci à Chantal Clem de cette initiative!
Ni an tipawol (proverbe/proverb/proverbio) kréyol ka di'w kon sa ki "Tété doubout sé pou an tan". Kivédi lè zot wè an madanm jenn, i pé fè tout kalté ganm ek lentérésan i lé, i pé karé kon yo ka di an bon kréyol, men lè laj-la fè tan monté anlè tet-li ek kò'y koumansé mofwazé (se métamorphoser/to transform/metamorfosear), i blijé vini pli modes.
Pies koté pé pa rété menm-parey kisiswa koté-a, soutou an lavil. Fidji an lavil ka mofwazé(se métamorphoser/to transform/metamorfosear) anmizi-anmizi, kay ka dépotjolé(détruire/to destroy/destruir), lari ka laji oben ka disparet, marché ka déplasé kisasayésa...Kifè, lè ou vini two abitié épi an koté ek koté-tala ka bokanté laspé, tjè'w blijé ka vini chimérik.
Par ordonnance du référé du 15 février 2019, M. Raphaël Confiant a été condamné à la diffusion du présent communiqué pour avoir publié sur le site internet Montray Kréyol un article portant atteinte à la présomption d'innocence de M. Fred Célimène.
Depuis quelque temps, l'actualité pointe du doigt les turpitudes du clergé catholique : pédophilie à tous les étages, viols de bonne sœurs et autres partouzes vaticanes. Des évêques démissionnent, des cardinaux sont traînés en justice et la bonne vieille Eglise Catholique Apostolique et Romaine semble sur le point de s'effondrer comme jadis l'Empire Romain.
A la fin de la Grande Guerre, la France a envisagé de céder les Antilles aux Etats-Unis contre l’effacement partiel de ses dettes contractées durant le conflit. Un épisode resté tabou.
...et surtout voyagé à travers la France où, écrit-il dans son manifeste de 74 pages intitulé "THE GREAT REPLACEMENT", il avait trouvé un pays complètement envahi par les "Non-Blancs" (Ben oui, quoi ! Le Blanc est la mesure de l'humanité car on ne dit pas un "Non-Noir", un "Non-brun", un "Non-Rouge" ou un "Non-Jaune").
Pa dwet ni an pep ka fè moun plis ri asou latè ki Neg. Soutou nonm neg ! Sé kon zafè Jounen Dwa Fanm lan ki sòti pasé a, lè 8 mars la. Lè ou ka fè tan gadé (kontel asou paj Fesbouk) dé sèten boug ki tout moun sav yo sé dé chef-mako, yo kité mako ka alé, an lanvi woulé atè ka anni pwan'w.
Dépi yonndé jou, Lanméri Fodfwans ka débat adan an zafè drapo-wouj-vè nwè ek bwabwa kannaval wouj-vè-nwè tou. An kalté démélé-san-konpwann, kon moun lontan té ka di. Sa ki ka woulé nan zékal-tet sé met-a-manyok PPM la ?
On ne peut pas tout savoir. Il y a des gens qui connaissent la composition des anneaux de saturne ; d'autres qui savent lire le sumérien ; d'autres encore qui savent réparer un système électrique sans se faire électrocuter. Bref, tout un chacun a une compétence dans un domaine quelconque.
Lè nou ka fè tan kouté sé gran média ek sé grangrek fwansé a sé jou-tala, sé politisien-an tou, ou sé pé kwè lépok ITLE déviré ba sé Juif-la. Sé kon sa yo pwofité ki yonndé "Jilé jòn" jouré manman Alain FIENKIELKRAUT, an swédizan filozof, pou vréyé lavwa kont moun ki rayi Juif kivédi antisémit
A grand renfort de trémolos dans la voix et d'indignation vertueuse lourdement assénée, nos chers (es) députés antillais sont montés au créneau ces derniers jours à cause du refus de la majorité de l'Assemblée nationale, autrement dit des députés macronistes, de voter un texte prévoyant l'indemnisation des victimes du chlordécone.
When, local time: Monday, 28 January 2019 - 3:00pm to 7:30pm Where: France, Paris Type of Event: Category 4- International Congress
The United Nations General Assembly proclaimed 2019 as the International Year of Indigenous Languages (Ref.: 71/178) in order to raise global attention on the critical risks confronting indigenous languages and its significance for sustainable development, reconciliation, good governance and peace building. The celebration in 2019 will contribute to the access to, and promotion of, indigenous languages and to a concrete improvement in the lives of indigenous peoples by strengthening the capacities of indigenous language speakers and relevant indigenous peoples’ organizations.
De nos jours, tout se sait. Tout finit par filtrer. Le secret est désormais, avec les nouvelles technologies de la communication, entièrement sous la coupe de Polichinelle. C'est ainsi que nous avons eu vent d'un projet de création d'une "Université de la Martinique", projet émanant d'élus (es) politiques martiniquais (es) haut placés (es) et de certains universitaires du campus de Schoelcher.