J’ai l’honneur de vous informer que l’expertise de l’état actuel de la chaudière BABCOCK de la SAEM du Galion a été conduite lundi 11/12/17 par Messieurs Alain GRITTI, Responsable des travaux extérieurs et Philippe MARSCHAL Responsable des chantiers pour la Ste BABCOCK WANSON fabriquant de ladite chaudière, numéro 1 français, classé au TOP 3 mondial des fabriquants de chaudières industrielles.
Fabien HUMBERT (in "Rhumporter")Paris, octobre 2017, la guerre semble bel et bien avoir été déclarée entre la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane et la Réunion. Qu’on se rassure il ne s’agit pas d’un conflit armé, mais d’un affrontement feutré, bien réel
Samedi, 16 Décembre, 2017 - 07:33
Paris, octobre 2017, la guerre semble bel et bien avoir été déclarée entre la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane et la Réunion. Qu’on se rassure il ne s’agit pas d’un conflit armé, mais d’un affrontement feutré, bien réel, autour d’un sujet explosif : les « contingents ».
Cependant, de nombreuses idées fausses continuent de circuler sur la question du franc CFA, que ce soit chez ses partisans, et Emmanuel Macron a repris certaines de ces idées fausses, ou que ce soit chez les opposants de ce système. Certaines de ses idées correspondent trop bien aux intérêts de ceux qui les propagent pour que l'on ne soit pas tenté de penser que, plus que d'idées fausses, il s'agit en réalité d'idées qui sont justement et sciemment produites pour obtenir certains effets, et par des gens qui savent parfaitement qu'elles n'entretiennent aucun rapport avec la réalité
Moun ka bat bouch-yo anlo sé jou-tala asou sijé lestravay, mé ni an bagay pèsonn pa ka wè oben pa lé palé asou'y, sé lestravay lakonsomasion. Davwè fok sav ki ni tout kalté model lestravay : ni sa ki moudong, ki rachmabab, ki ka fè san koulé épi ni an lot model ki dous, ki envizib mé ki ka maré moun menm manniè-a. Dézienm katégori lestravay-tala pa ka maré chenn pan pié moun, mé nan tet-yo. Nan lespri-yo...
Il y a une vérité que l'on n'entend jamais de personne s'agissant de l'usine sucrière du Galion et donc de l'ensemble de la filière "Canne". Ni de la bouche des hommes politiques ni de celle des journalistes qui traitent du dossier ni des acteurs eux-mêmes de la filière à savoir que quelle que soit la solution qui sera choisie, ce secteur économique ne redeviendra plus jamais rentable. Il a fait le malheur (esclavage) de notre île tout en lui permettant un formidable développement économique jusqu'au milieu du XXè siècle, moment où il s'est mis à décliner comme partout à travers le monde d'ailleurs. Il a donc eu besoin d'une aide permanente, ce qui n'a rien de particulièrement scandaleux puisque pratiquement dans tous les pays, l'agriculture est subventionnée, à commencer par ceux de la Communauté Européenne.
Ayen pa ka woulé nawflaw sé tan-tala atè Matinik. Nou fini apwann ki yo mété Lopital La Ména, pi gran lopital Matinik, anba jouk an direksion pwovizwè pis i ni 30 million éwo lajan-dwé. Apré sa, nou ka apwann ki lizin sik (dènié-a éti nou rété a) Galion an, nan komin Trinité, pé ké pé krazé kann lanné-tala davwè chodiè'y an chinpontong. Ranplasman chodiè-tala ka kouté 15 million éwo ek fok atann 3 lanné avan yo fabritjé yonn ki nef ek enstalé'y. Kivédi pannan tout tan-tala, fok touvé an dépri pou sé plantè kann-lan, soutou sé ti plantè-a, kontinié viv ek pwodui. Asiparé té ké ni dé chimen : oben branché Galion asou nouvo lizin Albioma a ki bò'y la oben réparé chodiè-a.
La Martinique est depuis longtemps un pays sans foi ni loi. Les scandales s'y multiplient sans que ni la justice ni les instances politiques locales ni même la population ne s'en émeuvent : scandale du CREDIT MARTINIQUAIS ; scandale du CHLORDECONE ; scandale des VEDETTES MADININA ; scandale du crash de la WEST-CARIBBEAN ; scandale du CEREGMIA. Pour ne citer que ceux-là car on peut ajouter aussi celui de la fusillade de la boite de nuit LE PAPARAZZI qui a opposé des voyous porteurs de bracelets électroniques embauchés par les municipalités PPM de Fort-de-France et de Basse-Pointe. Ou encore celui de l'antenne brésilienne, dans la ville de Belem très précisément, de l'ex-Conseil régional de la Martinique où des centaines de milliers d'euros ont été gaspillés sans aucun retour sur investissement pour la Martinique. Ou même celui des "totems du Grand Saint-Pierre", ces poteaux rongés par les termites qui ont été plantés par LETCHIMY et ses amis à l'entrée de la ville de Saint-Pierre pour la somme de...750.000 euros, facture réglée par le...Parc Naturel de la Martinique, organisme culturel comme chacun sait. Bref...
La FAO, l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture, demande 98 millions de dollars pour éviter la progression de la jaunisse fusarienne. Une maladie qui a déjà décimé près de 100.000 hectares de bananes, principalement en Asie.
Dans une "économie de comptoir" telle que celle qui sévit à la Martinique, investir dans un secteur non directement lié au système en place n'a guère de sens, voire même est absurde. Pourtant, régulièrement de jeunes Martiniquais intelligents se lancent dans l'aventure, se jettent plutôt à l'eau, plein d'enthousiasme et d'espoir. Hélas ! Plus souvent que rarement, l'affaire se termine en catastrophe. Catastrophe annoncée pourrait-on dire. C'est ce qui vient d'arriver à un jeune couple d'entrepreneurs qui s'est lancé dans le secteur du transport aérien, embauchant dix personnes et ayant eu le temps de faire voyager pas moins de 12.000 passagers vers la Guadeloupe et Saint-Martin. La compagnie AVA AIR et son seul avion de 20 places__un Jetstream 32__plus économique et plus écologique que les appareils des autres compagnies déjà installées sur ce marché, témoigne de l'esprit d'entreprise, de l'inventivité et du courage d'un grand nombre de Martiniquais, contrairement à ce que racontent les prédateurs békés confortablement installés dans l'économie de comptoir.
Dans une tribune publiée sur un site-web de la place, le Béké Emmanuel de REYNAL, président de l'association "CONTACTS-ENTREPRISE", s'en prend au mouvement de grève enclenché à la Martinique depuis l'annonce de la non-reconduction par l'Etat des "contrats aidés", mouvement qui prend chaque jour plus d'ampleur puisque ce lundi 25 septembre environ 5.000 manifestants ont défilé dans les rues de Fort-de-France. Le spectre d'un nouveau Février 2009 est donc là et le patronat tire la sonnette d'alarme par la voix de DE REYNAL qui pleurniche sur les possibles conséquences d'un tel remake : cela reviendrait-, écrit-il, à détruire les vrais emplois, ceux du secteur économique, pour sauver les contrats aidés.
Cette cérémonie, riche en divertissements pour tout public, petits et grands, aura lieu lundi 16 octobre 2017 à Espace Reuilly - 75012 Paris.
Nous comptons sur votre présence nombreuse pour encourager nos entrepreneurs, applaudir nos artistes et faire de cette 4ème édition un moment inoubliable.
Au-delà du tintamarre provoqué par Kémi Séba et son billet brûlé, l’économiste togolais analyse les ressorts d’une « servitude volontaire » au sein de la zone franc.
Alors que le chômage atteint un record, montrant l’inanité de la politique néo-libérale, l’économiste Thomas Piketty rappelle que l’inégalité est au cœur du malaise actuel. Il pourfend les croissancistes. Et appelle à une refonte de la pensée économique pour prendre en compte « le capital naturel ».
Cet essai remarquable est l'épilogue d'une vie professionnelle consacrée aux travailleuses «invisibles», celles que l'on remarque à peine tant leur tâche peut sembler insignifiante.