Le drapeau rouge, noir, blanc et vert des Palestiniens a été hissé mercredi pour la première fois au siège de l'ONU à New York, un événement hautement symbolique. Hissé dans la roseraie de l'institution internationale, il devait l'être ensuite au côté des 193 bannières des Etats membres des Nations unies et de celle du Vatican, qui, comme la Palestine, a le statut d'Etat non membre. "Dans ce moment historique, je dis à mon peuple partout: hissez le drapeau palestinien très haut, parce que c'est le symbole de notre identité. C'est un jour de fierté", a déclaré le président palestinien Mahmoud Abbas au début de la cérémonie.
Avec des artistes de la trempe de Roger Waters, membre fondateur du cultissime groupe Pink Floyd, et de Danny Glover, l’acteur, réalisateur et producteur de cinéma américain, devenu célèbre pour son rôle de co-équipier de Mel Gibson dans « L’Arme fatale », la défense de la cause palestinienne a trouvé deux avocats de poids dont la notoriété planétaire offre une formidable caisse de résonance à leurs ardents playdoyers qui retentissent de leurs appels vibrants au boycott d’Israël.
More than 1,000 Black activists, artists, scholars, students and organizations have released this statement reaffirming their “solidarity with the Palestinian struggle and commitment to the liberation of Palestine’s land and people.”
The list of signatories includes scholar-activists Angela Davis and Cornel West, political prisoners Mumia Abu-Jamal and Sundiata Acoli, rappers Talib Kweli, Boots Riley and Jasiri X and Black Lives Matter co-founder Patrisse Cullors. Forty organizations signed, including the Florida-based Dream Defenders and St. Louis-based Hands Up United and Tribe X, which were founded after the killings of Trayvon Martin and Michael Brown, respectively, as well as the 35-year-old Organization for Black Struggle in St. Louis.
"Ce à quoi nous avons survécu pendant l’été 2014 prendra tout le temps d’une vie pour s’adoucir. Cela restera toujours comme une cicatrice sur notre psyché jusqu’à ce que justice soit faite aux victimes qui sont mortes et que la liberté pour laquelle nous avons payé cet énorme prix soit gagnée, jusqu’à ce qu’Israël soit tenu pour responsable, dénormalisé et traité pour ce qu’il est en réalité : un État colonial.
Un chalutier suédois, le MARIANNE, parti de Göteborg fait route vers la Méditerranée orientale en direction de Gaza ; transportant une cargaison de panneaux solaires et de matériel médical, ce chalutier rejoindra les autres bateaux de la troisième FLOTTILLE DE LA LIBERTE décidée à briser le blocus imposé par Israël .
Comme un geste de solidarité avec le peuple palestinien, à cette occasion, Daniel Boukman re-publie L’HOMME ENDORMI ou ET DE NOUVEAU LA BÊTE IMMONDE
On le sait, il n’est pas facile d’être Palestinien dans un « État juif ». Mais la récente révolte des juifs d’origine éthiopienne rappelle qu’il ne suffit pas d’appartenir à cette religion pour ne pas être discriminé. Et que, même juif, il vaut mieux être Blanc que Noir dans une société divisée socialement et ethniquement et où le racisme institutionnel est légitimé par les principaux ministres du nouveau gouvernement de Benyamin Nétanyahou.
Orange fournissant un service gratuit aux soldats israéliens déployés près de Gaza pendant l'attaque qui a tué plus de 2200 Palestiniens l'été dernier. La filiale israélienne de la compagnie de télécommunications française a « adopté » une unité militaire qui a opéré dans des lieux ou des centaines de civils furent tués (via Frumline)
Leila Shahid n’est plus l’ambassadrice de la Palestine à Bruxelles auprès de l’Union européenne, de la Belgique et du Grand Duché du Luxembourg. Son départ, à 65 ans, est irrévocable. Les efforts du président palestinien Mahmoud Abbas pour la retenir auront été vains. Diplomate hors pair, elle prend une retraite qui sera peut-être interrompue par l’une ou l’autre mission ponctuelle pour la Palestine.
"Chef du Département du recensement de la commission palestinienne des détenus et ex-détenus, Abdul-Nasser Ferwana, a déclaré que l’armée israélienne continue à attaquer et enlever des enfants palestiniens en violation du droit international, en enlevant 3755 enfants les quatre dernières années, y compris 1266 enfants en 2014."
Le long de l’une des rues de la ville d’Ariha, dans le nord de la Cisjordanie occupée, les commerçants Khaldoun et Hassan réceptionnent régulièrement 30 tonnes de dattes produites dans les colonies agricoles israéliennes voisines, en vue de leur transfert vers l’une des usines de conditionnement construites à la périphérie de la ville, a rapporté l’agence d’informations Anadolu.
Dans l’usine, environ 13 mineurs travaillent au tri des dattes et à leur reconditionnement en sacs sur lesquels est imprimé « Dattes de Terre sainte », en arabe et en anglais, et « Produites en Palestine », pour les commercialiser localement, dans les États arabes et en Europe.
Dans un article publié dans la nuit de mardi à mercredi, le quotidien israélien Haaretz détaille la manière dont, côté israélien, Nétanyahou, et Nétanyahou seul, a conçu et donné son accord au texte du cessez-le-feu, en concertation avec le secrétaire d’État américain John Kerry, qui, lundi, a multiplié les conversations téléphoniques avant de se déplacer au Caire, le ministre des affaires étrangères et le président égyptiens. Selon les sources militaires et diplomatiques anonymes citées par le quotidien israélien, pas un diplomate n’a été convié. Totalement tenu à l’écart des discussions, le Hamas, mais aussi les principaux partenaires de Nétanyahou au gouvernement, dont le ministre des affaires étrangères, Avigdor Liberman, ont appris les termes du cessez-le-feu à la radio.
La plus jeune étudiante palestinienne en médecine entre dans le livre Guinness des records. Aujourd’hui elle est la plus jeune docteur en médecine au monde. Voici son histoire Une première au niveau mondial : Iqbal Mahmoud Al Assad, jeune palestinienne de 14 ans est inscrite dans le livre « GUINESS » des records mondiaux, en tant que plus jeune étudiante en médecine du monde.
Il y a d’abord eu l’apartheid de l’auto-stop et maintenant il y a l’apartheid dans les écoles maternelles. Non, nous ne parlons pas de l’Afrique du Sud d’antan. Nous parlons d’Israël en l’an 2013. Plus précisément, nous parlons de la ville la plus libérale d’Israël, Tel Aviv.
La direction de l’Ichilov Medical Center à Tel-Aviv a annoncé lundi que l’entrée à l’hôpital sera refusée aux migrants africains, sauf s’ils ont besoin de soins médicaux ou d’être hospitalisés.
Bille écrit avec la collaboration de Gaëlle Faure - www.observers.france24.com
Vendredi, 17 Mai, 2013 - 04:50
Le client d’un restaurant soudanais de Tel Aviv a pris en photo un inspecteur municipal détruisant la marchandise de l’établissement en l’aspergeant d’eau de javel. La même opération a été menée dimanche dans une dizaine d’autres échoppes de la ville tenues par des migrants africains. Pour notre Observateur, il s’agit d’un énième stratagème pour pousser hors du pays les migrants venus d’Afrique.
IRIB- «Le racisme (…) n’est qu’un élément d’un plus vaste ensemble: celui de l’oppression systématisée d’un peuple [1]»
Depuis plus de deux ans, la société israélienne est informée qu’un contrôle des naissances a été imposé aux femmes désirant émigrer de l’Ethiopie vers Israël. L’alternative était ainsi formulée ou accepter l’injection de Depro-Provera –masquée sous le terme vaccin- ou impossible de quitter l’Ethiopie.
Palestiniens et Africains : deux identités antagonistes et complémentaires sur une terre aux multiples visages. Voyage au cœur d’une communauté dont les racines remontent à l’empire Ottoman.
Il est désormais établi, après l’autopsie d’Arafat Jaradat, que ce prisonnier de 30 ans, père de 2 enfants et dont la femme est enceinte d’un 3ème, est mort samedi des suites des coups et tortures que lui ont fait subir pendant 5 jours ses tortionnaires israéliens. C’est le deuxième prisonnier palestinien qui décède en prison depuis le début de cette année, tandis que d’autres, en grève de la faim sont en train de mourir. Le colère monte en Palestine.
Les accusations se sont multipliées ces cinq dernières années, jusqu'ici systématiquement démenties par le gouvernement israélien. En novembre, un documentaire diffusé sur la Télévision éducative israélienne leur donnait encore davantage de poids : il y était affirmé, sur la fois de nombreux témoignages, que des Ethiopiennes qui avaient émigré en Israël il y a huit ans avaient été contraintes de se voir injecter du Dépo-Provera, un contraceptif longue durée, si elles voulaient entrer sur le territoire.