Tranquillement installés derrière une dune protectrice, munis de fusils à lunette dernier cri, des soldats de l'armée israélienne ont abattu de sang-froid, ce vendredi 30 mars, 17 Palestiniens et blessé 1400 autres, tous désarmés. Cela à la frontière séparant le nord du Bantoustan de Gaza du sud d'Israël.
Pannan sé chien-fè larmé Izrayel la té ka fouté fizi dèyè sé Palestinien-an, pannan yo té ka tjwé 15 moun ek blésé 1400 dot, pannan tout tan-tala, ki sa latélé fwansé té ka montré ? Di ki sa sé gran jounalis fransé a té ka palé ? Di chiraj ki ni ant sé léritié Johnny HALLIDAY a pou sav kiles ki ké rivé trapé lajan-an i kité a.
Les offensives de Tsahal à l'aide de pesticides détruisant les cultures et épandages sur la zone tampon mettent en grande difficulté les agriculteurs gazaouis. En dix ans, la part de l’agriculture dans le PIB de Gaza a dégringolé.
Les images que l'on peut voir sur la vidéo ci-après sont hallucinantes ! On se croirait dans l'Afrique du Sud de l'Apartheid ou dans quelque état du "Deep South" américain tel que l'Alabama ou le Mississipi : des manifestants qui défilent dans les rues en hurlant "Niggers go back to Africa !" (Les Négros en Afrique !).
Mais nous sommes tout simplement à Tel-Aviv, capitale de l'état d'Israël, créé en 1948 pour accueillir les rescapés de la Destruction des Juifs d'Europe (hypocritement appelée "Shoah" afin de masquer la responsabilité des Européens dans ce crime contre l'humanité). Etat qui s'est d'ailleurs bâti sur une autre ignominie : l'expulsion du peuple palestinien de sa terre ancestrale.
Comme on peut le voir sur la vidéo, les migrants africains offrent des fleurs aux manifestants lesquels les repoussent brutalement en hurlant qu'ils ont "tous le SIDA" et qu'ils doivent quitter immédiatement Israël pour rentrer chez eux au Soudan du sud ou en Erythrée.
Muluebrhan Mesgna sort d'un bureau d'immigration israélien près de Tel-Aviv en serrant un morceau de papier blanc dans sa main. Une simple feuille qui, dit-il, pourrait bien devenir son arrêt de mort.
Abbas speaks the truth. Israel's comments against him aren't about reality— they're just nationalistic snarls. The jolly choir is shrieking again: Mahmoud Abbas. You have to see the responses to his speech to understand the extent to which Israel is speaking with one horrifically uniform voice, the extent to which there is no more left and right, no real argument and no ideological pluralism – only a blind, deafening nationalistic snarl.
Est-ce l'une des conséquences du réchauffement climatique qui affecte notre planète (en dépit des dénégations puériles de Donald, pas le canard, le conard !), réchauffement qui affecte des régions déjà particulièrement chaudes comme la Palestine et qui ramollit le cerveau ?
Nan péyi Palestin sé tou lé jou sé solda izrayélien-an ka malmennen popilasion-an. Yo pa pou konnet si sé timanmay, madanm, viékò, enpiok(infirme/disabled), yo ka fouté adan a kout grinad, a kout kwos fizi oben délè épi vré bal. Abo(bien que/although) tout moun asou latè ka wè vakabonajri-yo gras a Entènet, sé chen-fè tala bien sanfoutépamal.
Ils n’ont plus que quelques jours pour se décider. 40.000 migrants africains entrés illégalement en Israël devront quitter la Terre promise dès début janvier 2018. Ils ont le choix entre un nouvel exil vers le Rwanda, qui a passé un accord avec l’Etat hébreu, ou être jetés en prison. Des voix s’élèvent pour dénoncer de nouveaux drames en perspective.
La photographie est parfois supérieure à l'écrit et souvent à l'image animée (vidéo, cinéma etc.).
L'écrit, en effet, joue sur la triple temporalité qui habite le cerveau humain : il revient sur des événements passés, décrit l'événement présent et conjecture sur ses conséquences futures.
طفلة فلسطينية بألف رجل, استطاعت لوحدها أن تلقن الاحتلال الاسرائيلي درسا لن ينساه, وسيبقى يتذكرها جنود الاحتلال إنها الطفلة “عهد التميمي” التي مرغت أنف المحتل بالتراب أمام صمت وخذلان المتصهينين العرب على جرائم المحتل الاسرائيلي.
Tout moun atjèman konnet fidji an jenn fi palestinièn, ki i 16 lanné anlè tet-li, yo ka kriyé Ahed TAMINI. Ti manzel ka goumen kont sé solda izrayélien-an dépi i ni 12 lanné ek sé pa yon sel fwa sé mésié za pongné'y ek aresté'y. Magré sa, ti manzel pa ka démod, i ka rifizé ladjé mòdan ek sé kon sa, lot jou-a, i fouté an solda sionis an kalot an djel.
Le père d’Ahed Tamimi est fier de sa fille. Il dit qu’elle est une combattante de la liberté qui, dans les années qui viennent, conduira la résistance au régime israélien
Met-a-manyok lé Zéta-Zini, kon pres tout moun sav li atjèman, sé an boug ki sékélé. Pa ni yon jou ki pasé san ki i pa konmet tjek bagay danjéré ki pou Méritjen yo menm ki pou lézot pep asou latè. Misié sé an danjé piblik pou planet-la toubannman ! Sé jou-tala, i désidé mété lanbasad mériyjen an adan vil Al-Qods (Jérizalem) alos ki pies péyi pa janmen asepté sa. Pies péyi ! Tout lanbasad ka touvé kò-yo adan vil Tel-Aviv davwè Al-Qods adan sé téritwè-a Izrayel otjipé a dépi 1967 ek ki an jou, i ké blijé rimet sé Palestinien-an.