Le numéro d'ANTILLA de cette semaine commence par une triste nouvelle : la disparition du chroniqueur sportif de l'hebdomadaire, Luc EDON. Homme de passion, rigoureux et discret, ce dernier tire sa révérence presque en même temps qu'un de ses confrères, Camille ALEXANDRE de MARTINIQUE 1è. Pendant des années, L. EDON aura gratifié les lecteurs d'ANTILLA d'articles bien informés sur tout l'éventail des sports pratiqués chez nous et il sera donc difficile à remplacer.
Comme à son habitude, l'hebdomadaire du PCM (Parti communiste Martiniquais), doyen de la presse martiniquaise avec ses 98 ans d'âge, est très riche cette semaine laquelle a été marquée par plusieurs conférences sur le scandale de l'empoisonnement de notre île par ce dangereux pesticide qu'est le chlordécone ansi qu'une plénière de la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique) consacrée à ce dossier.
Ce numéro de l'hebdomadaire "ANTILLA" met en lumière un secteur un peu oublié de notre société : tout le travail accompli par une association appelée l'AMEDAV au service des déficients auditifs plus nombreux en Martinique qu'on ne se l'imagine. Autre dossier important : celui qui concerne les pesticides et notamment le chlordécone qui pendant une trentaine d'années a empoisonné nos sols, nos rivières, nos nappes phréatiques et nos rivages causant des dégâts écologiques et sanitaires considérables. L'économie n'est pas oubliée avec un intéressant article sur le Grand Port Maritime.
Dans le numéro de "JUSTICE" de cette semaine, il y a un article que tout administré de la ville de Fort-de-France devrait lire avec la plus grande attention et surtout conserver : l'analyse qu'y fait Michel BRANCHI, conseiller municipal d'opposition du "Rapport introductif au débat sur les orientations budgétaires 2018 de la ville de Fort-de-France" présenté lors du conseil municipal du 1er février dernier. Article, certes un peu technique, mais qui éclaire sur la calamiteuse gestion PPM.
Tout un chacun connaît le "mensonge par omission". Au lieu de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, on en dit les trois-quarts ou bien la moitié et le tour est joué ! On n'a pas proféré de contrevérité, mais la simple soustraction informationnelle que l'on a effectuée est en soi une forme de traficotage de la réalité.
Le presque centenaire hebdomadaire du Parti communiste Martiniquais, "JUSTICE", nous revient dans son n° 4 de l'année 2018 avec une moisson d'articles fort intéressants dans des domaines aussi variés que la politique, l'économie, l'écologie ou encore les droits des femmes.
Le magazine hebdomadaire ANTILLA de cette semaine (n° 1805) nous revient plus riche et plus beau que jamais. La maquette de ce journal et la qualité de ses photos le classent, sans exagération aucune, parmi les meilleurs du monde. En effet, nombre de magazines régionaux français, par exemple, n'atteignent pas pareille qualité.
La santé économique d'un pays se mesure aux chiffres fournis par son organisme statistique officiel (l'INSEE pour la France) : volume des importations et des exportations, nombre de créations d'entreprises et de faillites, solidité de la monnaie nationale, montant de la dette publique etc. La santé intellectuelle d'un pays se mesure aux nombre de brevets déposés, de découvertes scientifiques, de livres publiés dans l'année, de doctorats soutenus etc...Bref, dans chaque secteur, il y a des indicateurs fiables qui permettent de juger si ledit secteur va bien, s'il va mal ou s'il est carrément en danger.
C'est au mois de février 2007 que fut créé le site-web MONTRAY KREYOL dont l'objectif premier de son fondateur, Raphaël CONFIANT, était de permettre une plus large diffusion de l'écrit en langue créole et de la culture créole en général. Cela pas uniquement pour la Martinique, mais aussi pour tous les pays créolophones.
En 2020, le doyen de la presse écrite martiniquaise, "JUSTICE", l'hebdomadaire du Parti Communiste Martiniquais fêtera ses 100 ans. Il est rarissime, même en Europe et en Amérique du Nord, qu'un journal vive aussi longtemps et en Martinique, seul ANTILLA, avec ses 37 années d'existence, tient encore vaillamment la route. En effet, comme chacun sait, la presse-papier, déjà concurrencée par les médias audio-visuels, est sévèrement mise en danger par les médias-Internet pour la plupart gratuits.
Dans son numéro 1803 de cette semaine, l'hebdomadaire ANTILLA revient sur certains événements marquants de notre actualité récente, notamment les coulées de boue qui ont affecté la commune du Prêcheur suite aux pluies torrentielles qui se sont abattues sur la Martinique depuis le début de l'année nouvelle.
(Rappelons qu'ANTILLA peut être acheté en librairie, dans les points-presse des supermarchés et des stations-service ainsi qu'à celui de l'aéroport)
Numéro important que ce troisième de l'année 2018 : on y trouvera un compte-rendu exhaustif de la rentrée politique du PCM (Parti Communiste Martiniquais) qui s'est tenue à la F.O.L. dimanche dernier, notamment l'intervention de son secrétaire général Georges ERICHOT. Un mot d'ordre : Maré ren-nou pou alé douvan".
(Rappel : le journal peut être acheté en librairie, dans les points-presse des supermarchés et des stations-service ainsi qu'à celui de l'aéroport).
Le 30 novembre dernier, alors qu’une campagne médiatique d’une violence rare prenait pour cible Houria Bouteldja, Le Monde se joignait à cette offensive en publiant une tribune diffamatoire, mensongère et injurieuse contre la militante du PIR, intitulée « A l’université, attention à ne pas banaliser l’antisémitisme »[1]. Elle était signée par des universitaires dont Alain Policar et Emmanuel Debono. HB, optant pour la confrontation politique plutôt que pour la voie judiciaire, a alors envoyé le texte qui suit, réfutant point par point les allégations et autres calomnies. Devant le mutisme des responsables du journal, elle envoie cette fois une lettre recommandée avec AR faisant valoir son droit de réponse. A ce jour, le Monde, bafouant l’usage et la loi, n’a pas dénié y donner suite ce qui constitue un grave manquement à la déontologie journalistique qu’il prétend incarner. Le voici dans son intégralité.
La presse écrite martiniquaise, vieille institution qui a permis à ce que l'on appelait autrefois "la classe de couleur" de s'opposer à l'omnipotence tant de la classe békée que du pouvoir français, est, comme tous ses alter ego de part le monde menacée par la "presse 2.0", notamment les blogs et les sites-web, mais aussi les fameux réseaux sociaux. Sur ces derniers, l'information y est le plus souvent gratuite quoique pas toujours de qualité alors qu'un journal-papier doit être acheté. Pourtant, le journal-papier est et demeure indispensable dans un système qui se veut démocratique et c'est pourquoi la Martinique peut s'enorgueillir d'avoir "JUSTICE" qi, en 2019, entre dans sa 98è année d'existence et "ANTILLA" dans sa 37è année. Peu de gens savent la dose d'abnégation, de travail et de dévouement qu’exige la tenue d'un journal-papier. C'est pourquoi il faut continuer plus que jamais à les acheter ! Ou alors de s'y abonner.
Ce dimanche 14 janvier, le Parti Communiste Martiniquais, le plus ancien de la Martinique, réunira à la F.O.L., route de Didier, à Fort-de-France, ses militants, sympathisants et démocrates, réunion ouverte à tous les Martiniquais désireux de comprendre les enjeux de la situation actuelle. "JUSTICE", l'hebdomadaire du PCM, dans sa deuxième livraison de l'année nouvelle nous propose les articles ci-après (rappelons qu'il est trouvable en librairie, dans les points-presse des supermarchés et des stations-service ainsi qu'à celui de l'aéroport):
A l'heure où les prophètes du Net et du "tout-virtuel" nous annoncent la fin de la presse-papier, voici que l'hebdomadaire ANTILLA entre dans sa 37è année d'existence. De même l'hebdomadaire communiste "JUSTICE" entame, lui, sa...98è année ! Mais il ne faut pas se boucher les yeux non plus : l'accès gratuit à l'information, y compris sur le présent site, MONTRAY KREYOL, impose une rude concurrence au papier, concurrence qui ne peut être freinée que si chacun fait l'effort chaque semaine de débourser 2 ou 3 euros pour acheter nos journaux. Journaux que l'on peut trouver dans les librairies, les points-presse des supermarchés et des stations-service ainsi qu'à celui de l'aéroport. Et pour ceux qui vivent loin, il y a bien sûr l'abonnement...
A l'heure où de pseudo-jeunes (quinquagénaires pour la plupart) tentent d'évincer les "vieux" de la vie politique martiniquaise sans pour autant disposer du moindre programme sérieux, voici que le doyen de la presse écrite martiniquaise, l'hebdomadaire "JUSTICE" du PCM (Parti Communiste Martiniquais) entre dans sa...98è année d'existence. Non, vous ne rêvez pas ! Ce journal est presque centenaire.
Rappelons qu'on peut l'acheter en librairie, dans les points-presse des supermarchés et des stations-service ainsi qu'à celui de l'aéroport.
A en croire les médias européens et nord-américains, la jeune résistante palestinienne Ahed TAMINI serait "manipulée par ses parents et par les leaders palestiniens" afin mieux faire de la propagande anti-israélienne. C'est à croire que ces journalistes n'ont suivi aucune des intifada (guerre des pierres) qui ont secoué les Territoires occupés palestiniens depuis au moins trois décennies.
