Lors de la plénière du mercredi 28 janvier, l'Assemblée de Martinique a voté à l'unanimité une motion de soutien au Pôle Martinique de l'Université des Antilles afin d'amener la gouvernance de l'établissement à respecter l'autonomie des pôles telle qu'elle est prévue dans la loi de création de l'établissement en 2015.
Longtemps, les politiques martiniquais, contrairement à leurs homologues de Guadeloupe et de Guyane, ont semblé très moyennement intéressés tant par l'ex-UAG (Université des Antilles et de la Guyane) que par l'UA (Université des Antilles). Pourtant, près de 5.000 jeunes martiniquais fréquentent le campus de Schoelcher et la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique) contribue au budget de l'établissement à hauteur d'1,5 million d'euros.
Depuis la création de l'Université des Antilles en 2015 (suite au départ de la Guyane) la situation n'a jamais été aussi grave. En effet, des enseignants, administratifs et étudiants ont tenu, ce vendredi 23 novembre, une assemblée générale sur le campus de Schoelcher pour dénoncer les violations régulières de l'autonomie du Pôle Martinique.
Le sacré est une notion qui appartient à plusieurs champs disciplinaires et qui n'a cesse d'interroger les chercheurs en lettres, langues et sciences humaines depuis des décennies. Qu'en est-il dans notre espace caribéen et sud-américain, cela en relation avec l'Afrique ancestrale ? C'est à cette question que tentera de répondre la "Journée d'Etudes" ci-après organisée par le CRILLASH, l'un des groupes de recherches de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l'Université des Antilles (campus de Schoelcher), le 30 novembre prochain.
Ce vendredi 23 novembre s'est tenue au Grand Amphi du campus de Schoelcher une assemblée générale d'enseignants, d'administratifs et d'étudiants qui, d'une seule voix, s'est élevée contre les multiples entorses, depuis bientôt trois ans, à l'autonomie des pôles pourtant dument inscrite dans la loi de création de l'Université des Antilles en 2015.
La recherche en sciences sociales n'échappe pas à la logique de marché, où la compétition accroît les inégalités et encourage le conformisme. Un danger pour les doctorants, de plus en plus précaires, et pour l’université elle-même, en tant qu’institution.
L'infatigable militant de l'action collaborative et de la positivité martiniquaise (chose si rare en ces temps de désillusions et de découragement), Olivier Ernest JEAN-MARIE, était ce jeudi 15 novembre l'invité du "JEUDI-LIVRES DE LA FACULTE DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES" (Université des Antilles, campus de Schoelcher).
Sur le campus de Fouillole de Pointe-à-Pitre, l'étudiante Wendy Zébo poursuit son combat contre l'Université des Antilles. Elle réclame la moyenne lors de l'examen pour lequel sa copie a été égarée puis retrouvée et son passage en deuxième année. Les sympathisants de Wendy s'en prennent au professionnalisme de l'expert en graphologie.
Farouche partisan de tout temps de l'unité de l'UAG, puis maintenant de l'UA, Alfred MARIE-JEANNE, président de la CTM, n'a pas hésité à faire le voyage en Guadeloupe pour la rentrée solennelle de la Faculté de Droit et d'Economie du campus de Fouillole.
Intervention de Raphaël CONFIANT, premier lecteur du livre de Steve GADET.
Je suis très heureux ce soir de participer à ce nouveau "JEUDI-LIVRES DE LA FACULTE DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES" qui, d'aucuns s'en souviennent, avaient rythmé trois années durant notre Faculté.
Près de 80 personnes, pour un bon tiers extérieures à l'Université, se sont pressées ce jeudi 25 octobre à l'amphithéâtre Hellène SELLAYE de la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l'Université des Antilles (campus de Martinique) pour la présentation du dernier livre de Steve GADET : "Discours sur le néocolonialisme".
La Faculté des Lettres et Sciences humaines de l'Université des Antilles (campus de Schoelcher) renoue avec une vieille tradition : "Les JEUDI-LIVRES". Une ou deux fois par mois, un auteur de l'établissement ou extérieur à ce dernier présentera son dernier ouvrage.
La mobilisation ne faiblit pas sur le campus de Fouillole (Université des Antilles) depuis juillet dernier et a pris ces jours-ci un tour plus virulent : les étudiants demandent carrément la démission du président !
Dans la vidéo ci-après, on voit une historienne s'élever vigoureusement contre l'appel aux forces de police faite par le président de l'Université de Rennes 2 afin de contrer un mouvement d'étudiants.
On ne peut pas dire qu'un tel courage soit universellement partagé. Loin de là ! Sous les Tropiques, par exemple, on accepte tout et n'importe quoi : même des tontons-macoutes déguisés en vigiles et portant des bracelets électroniques pour soi-disant garder les entrées des campus.
Tristes Tropiques avait, il est vrai, prophétisé un certain Claude LEVI-STRAUSS...
Depuis deux mois, une étudiante de la Faculté de Droit du Pôle Guadeloupe de l'Université des Antilles, Wendy ZEBO, se plaint du fait qu'on ait perdu une de ses copies lors des épreuves d'examen, ce qui l'a empêchée de passer en année supérieure.
Elle ajoute avoir par la suite retrouvé sa copie sous la porte d'une des salles de cette faculté avec la note de 17/20. Soutenue par les étudiants du groupe "REBELLES", elle explique dans l'interview de RCI (Radio Caraïbes International) ci-après, être déterminée à aller jusqu'au bout pour que justice lui soit rendue...
Depuis plusieurs jours, le campus de Fouillole (Pôle Guadeloupe) de l'Université des Antilles est en ébullition à cause d'une affaire de perte de copie d'une étudiante, WENDY, inscrite en Faculté de Droit et d'Economie. Ladite Faculté affirme qu'elle n'aurait pas composé le jour de l'examen, ce que la jeune fille conteste laquelle affirme avoir retrouvé sa copie par terre, sous une porte, avec une note dessus. Le journal REBELLE vient de publier le communiqué ci-après...
Ce matin, les membres de l'association Rebelle étaient mobilisés en soutien à Wendy Zébo qui a été reçue par le président de l'université des Antilles... Le doyen Eustase Janky a annoncé hier que les analyses graphologiques vont à l’encontre de la version de la jeune étudiante.