Cuba es el único país de América Latina y el Caribe que ha eliminado la desnutrición infantil, gracias a los esfuerzos del gobierno por mejorar la alimentación de los grupos más vulnerables, resalta el Fondo de la Naciones Unidas para la Infancia (UNICEF) en su último informe.
En mars 1960, quand Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir sont arrivés à Cuba, il y avait à peine quinze mois que la révolution avait triomphé dans l’île des Caraïbes, et les vents du changement, de l’enthousiasme et des espoirs couraient comme un ouragan sur les cannes à sucre.
Le jeudi 6 mars 2012, le Maire du Lamentin a présenté au Conseil Municipal un projet pour la « célébration des 15 ans de jumelage à Santiago de Cuba ».
Il a rapporté que Cuba ayant pris la décision de dédier la 32 ème édition du Festival de la Caraïbe à la Martinique du fait de ce jumelage, la célébration du jumelage aura lieu lors de ce Festival del Caribe du 3 au 9 juillet 2012.
Jusque là, il n’y a rien de scandaleux, au contraire, c’est honneur pour notre Pays d’être ainsi mis en vedette
Mais lorsque j’ai pris connaissance de certains éléments du projet « culturel » préparé par le Maire et son équipe pour représenter la Martinique à Cuba, j’ai vivement réagi au nom du Groupe des élus du RPL (Rassemblement
Populaire Lamentinois) que je préside.
Le Prix Carbet de la Caraïbe et du Tout-Monde 2011 a été remis samedi à Cayenne au romancier cubain Leonardo Padura, auteur de « L’homme qui aimait les chiens » (éditions Métailié).
C’est l’écrivain martiniquais Patrick Chamoiseau, qui succède à Edouard Glissant, décédé en février 2011, comme président du Prix Carbet, qui a annoncé le nom du lauréat à l’auditorium de l’Encre à Cayenne. « Ce prix illustre plusieurs des préoccupations de celui qui en fut le président durant plus de vingt ans et auquel cette 22e édition rend un hommage », a déclaré en préambule Patrick Chamoiseau.