On croyait terminée la triste affaire CEREGMIA (14 millions d'euros siphonnés durant deux décennies dans les caisses de l'ex-Université des Antilles et de la Guyane, puis de l'Université des Antilles) après la révocation de la fonction publique de son ex-directeur, Fred CELIMENE, et la mise à pied pour 5 ans et 2 ans, sans salaire dans les deux cas, de Kinvi LOGOSSAH, l'ex-directeur-adjoint du CEREGMIA et Eric CARPIN, ex-doyen de la Faculté de Droit et d'Economie de la Martinique.
Soutien invétéré de Fred CELIMENE, fidèle des fidèles, mouillé jusqu’au cou, Vincent VALMORIN, directeur de l'ex-CEREGMIA-Guadeloupe, croit pouvoir échapper aux foudres de la justice en se réfugiant derrière une candidature à la présidence de l’Université des Antilles !
Quand le marin espagnol Hernando de Ghevara pose le pied sur l'île d'Haiti, la terre des hautes montagnes, en l’an de grâce 1492, il est loin de se douter que son destin va basculer. Le vent l’a amené, la terre et la mer vont le transformer.
Laissé sur l’île par Christophe Colomb, avec 39 hommes, après le naufrage de la Santa Maria, il sera le seul à survivre. Son amour pour la belle Higuenamota, fille de la cacique Anacaona, lui donnera les clefs de compréhension du peuple Taïno et de sa culture à nulle autre pareille. Avant que l’histoire ne se charge de les engloutir.
Cinq siècles plus tard, cet ethnologue avant l’heure passionne une autre ethnologue, Mireille Nicolas. Grande voyageuse elle aussi et tombée sous l’emprise de l’île, elle s’est glissée en lui pour faire revivre ce siècle de découverte et de carnage.
Le Conseil Guadeloupéen Pour les Langues Indiennes (CGPLI) est heureux de vous inviter à la conférence DEEPAVALI FÊTE DE LA LUMIÈRE DE L'INDE A LA GUADELOUPE du Professeur Appassamy Murugayan le mercredi 6 novembre à 19heures au Centre Culturel Rémy Nainsouta à Pointe-à-Pitre
Le poète et ancien professeur de créole guadeloupéen bien connu, Hector POULLET, a fait la communication ci-après au XVè Colloque International des Etudes Créoles qui se tient cette semaine en Guadeloupe...
Nous sommes en 2016, de nombreux enseignants, avec ou sans le CAPES, enseignent aujourd’hui le créole en Guadeloupe. Pour beaucoup d’entre eux il ne s’agit que d’enseigner une discipline parmi d’autres, ils savent vaguement que c’est là le résultat d’un long combat sans plus. Le créole a de tout temps été parlé à l’école, dans la cour par les élèves, dans la salle des professeurs par les enseignants eux mêmes, mais il était interdit dans les salles de classe. Comment l’enseignement de la langue et de la culture créoles est entré dans le système éducatif en Guadeloupe, c’est l’objet de cette communication.
En une semaine de séjour au pays, à ses propres frais (ceci pour les mauvaises langues "frémontiennes"), Corinne MENCE-CASTER vient de nous démontrer qu'elle garde plus que jamais le contact avec son ancienne université et son pays, la Martinique. En effet, elle a tout d'abord participé, le jeudi 27 octobre, à la Faculté des Lettres et Sciences humaines (campus de Schoelcher), à la présentation de l'ouvrage collectif, qu'elle a codirigé avec Gerry L'ETANG, publié chez Caraibéditions, "ECRIRE LA DOMINATION". Puis, samedi 29 octobre, au centre Lumina SOPHIE de Rivière-Pilote, à la présentation de l'ouvrage de Louis BOUTRIN et Raphaël CONFIANT, "DECEMBRE 2015. UNE NOUVELLE PAGE DANS L'HISTOIRE DE LA MARTINIQUE", ouvrage qui lui est dédié et qui est encore publié par Caraibéditions. Enfin, le lundi 31 octobre, elle a prononcé la conférence inaugurale du XVè Colloque International des Etudes Créoles, en Guadeloupe, conférence dont voici un compte-rendu...
Corinne Mencé-Caster, ancienne présidente de l'Université des Antilles, aujourd'hui professeur à Paris IV (Sorbonne), a réalisé la conférence inaugurale du 15e colloque de l'association internationale des Etudes créoles. Cette conférence qui s'est déroulée à Baie-Mahault (Guadeloupe) le 31 octobre 2016, portait sur le thème : "La littérature caribéenne, ses langues et ses chercheurs : enjeux, défis, perspectives".
XVème Colloque International des Etudes Créoles « Pourquoi étudier les langues, cultures et sociétés créoles aujourd’hui ? » Baie Mahault, 31 octobre 2016, 1er, 2, 3 & 4 novembre 2016 Maison Coloniale de Wonche, Mémorial Acte, Fort Fleur d’Epée, Université des Antilles
Nous avions reçu en février dernier le message ci-après avec demande de diffusion, de Danik ZANDRONIS, directeur de publication du site guadeloupéen CARIBCREOLENEWS (CCN), plus connu sous le sigle de CCN. Nous ne l'avions pas publié, mais face aux attaques et menaces de poursuite en justice que subit Cathy LIMINANA-DEMBELE, nous avons décidé de remettre l'affaire sur le tapis.
L’auteur de cet essai, un Guadeloupéen voulant gérer sa part de descendance de l’esclavage et de la colonisation, musicien autodidacte passionné, guetteur de la culture, sentinelle de la tradition, passeur de mémoire, accélérateur de tentation, défenseur de l’écologie acoustique, ne cesse de s’émerveiller devant ce son envoûtant. Ce son propage la liberté d’avoir un second souffle, de créer et de révéler la qualité primordiale de la musique, qui est de faire converger la pensée de l’homme, au nom du droit des peuples à décider d’eux-mêmes.
Attaqués jeudi par un homme armé d’une machette, un gendarme en repos et son épouse ont tué leur agresseur. La thèse de la légitime défense est privilégiée par le parquet. Le militaire est blessé et le couple est en état de choc.
Il est des épreuves qui nous amènent à découvrir les autres et à nous découvrir. Celle qui frappe Lyciane, une jeune lycéenne perturbée, nous renvoie aux expériences douloureuses qui jalonnent la vie d’un nombre de plus en plus croissant de jeunes perdus dans notre société, au point de chercher le salut dans la mort.
Voici que les vice-présidents de pôle de l’université des Antilles (UA) sollicitent les recteurs chanceliers de l’université pour l’organisation d’une réunion du conseil d’administration de l’établissement sur un seul point d’ordre du jour : « — dysfonctionnements des conseils de l’UA et de l’établissement »
Il y a 10 mois, par l’élection d’une nouvelle majorité au Conseil Régional, la Guadeloupe a exprimé clairement et massivement son aspiration à changer d'avenir.