Depuis une trentaine d'années, on assiste à l'émergence d'une norme
endogène du français aux Antilles, c'est-à-dire à une manière particulière, spécifique, d'utiliser la langue de Molière.
Hector Poullet, Florence et Ralph Ludwig exposent ici le cas du "français guadeloupéen". Ce texte a été publié dans "L'Arpenteur inspiré" qui est un hommage à la carrière du professeur Jean Bernabé, publié aux éditions Ibis Rouge en 2006, cela sous la direction de Robert Damoiseau et Raphaël Confiant, enseignants à l'UAG (Université des Antilles et de la Guyane).
Quelle beigne, un vendredi 13! «I té bel!» ont du crier quantité de téléspectateurs le 13 juillet dernier en entendant aux infos de RFO l’écrivain Maryse Condé annoncer sa rupture définitive et faire adieu à la Guadeloupe.