Apré i viv 106 lanné anlè latè Matinik, Pierre Aliker monté nan Galilé. Sé té ti frè André Aliker, met-a-manyok jounal kominis « JUSTICE », ki Bétjé té fè yo sazinen an 1935. Pierre Aliker fè étid doktè épi chirijien atè Pari nan prèmié lanmwatié 20è siek-la épi i déviré Matinik koté i trapé an pos adan Lopital Clarac.
Cet ouvrage est un récit de femmes racontées par une femme. C’est le vécu d’un pays, d’une histoire par des femmes. C’est également la narration d’un évènement, ou plutôt, d’une permanence tragique : « La Grande Catastrophe », évoquée après, avant, pendant son déroulé.
KM2 ka kolétetkolézépol épi sé étidian Matnik la, ki ka lité pou an Linivèsité ki ni an serten wotè, kon i té za yé a, asou Giyàn, Gwadloup, épi Matnik. Pli an Linivèsité gran, sé pli travay wouchach épi travay montray ké gran épi potalan.
Fok pa yo anni dékalé dékatjé déchèpiyé, vitman présé, sa yo pran tjek 40 lanné pou mété doubout épi fè maché.
Les échéances pour les municipales des 23 et 30 mars 2014 approchent à grands pas. Voilà la vidéo du "Quart d'heure de vérité", diffusé la semaine dernière.
Ecrivain majeur de la littérature française contemporaine, prix Goncourt 1992 pour Texaco, Patrick Chamoiseau est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages dont "Chronique des sept misères" (1986), "Les neuf consciences du Malfini" (2009) ou encore "Le papillon et la lumière" (Philippe Rey, 2011). Essai
J’ai lu avec perplexité ton dernier édito à propos de la crise de l’UAG, notamment la partie qui concerne notre Martinique. Tu me permettras de te dire que je te trouve exagérément pessimiste, voire catastrophiste dans le tableau que tu dresses de notre pays : densité énorme (400 habitants au km2), terres agricoles en voie de disparition rapide, agriculture d’exportation en danger, absence de perspectives pour notre jeunesse frappée par le chômage etc…
Le Mouvement de Décolonisation et d'Emancipation Social de la Guyane mesure une nouvelle fois l'engagement concret du peuple argentin fraternel et solidaire, aujourd'hui à travers les instances supérieures de l'Éducation et de la Justice de sa République. Qu'il en soit ici chaleureusement remercié.
La crise actuellement traversée par l’Université des Antilles et de la Guyane n’implique pas seulement de repenser les aménagements institutionnels qui lient ses trois pôles. Quelle que soit la forme que prendra à l’avenir l’université dans nos régions, nous tenons à affirmer qu’aucune sortie de crise ne sera satisfaisante si elle ne débouche pas dans le même temps sur un assainissement radical de l’établissement.
Le 27 novembre dernier, alors que plus de 600 étudiants, enseignants et personnels administratifs, réunis au Grand Amphi du campus de Schoelcher (Martinique) fustigeaient les pratiques financières du CEREGMIA, groupe de recherches dirigé par Fred Célimène, ce dernier organisait une conférence de presse au sein de sa faculté afin de tenter de se défendre. Rappelons que deux rapports de la Cour des comptes à dix ans d’intervalle ont pointé du doigt le fonctionnement mafieux du CEREGMIA sans que la justice ait le moins du monde inquiété son parrain à ce jour.
4 et 5 décembre 2013 - Amphithéâtre Hélène Sellaye
Vendredi, 29 Novembre, 2013 - 00:16
Programme du Séminaire International sur l’Intercompréhension des langues et cultures dans la Caraïbe organisé par l’ICEF, le CRILLASH , l’ AUF Bureau Caraïbe et le soutien de l’AABU. Il aura lieu à l’amphithéâtre H. Sellaye, campus de Schoelcher (Martinique) les 4 et 5 décembre 2013.
Le scandale financier qui secoue actuellement l’UAG (Université des Antilles et de la Guyane) est parti de deux rapports successifs de la Cour des comptes qui pointe du doigt les dérives financières d’un groupe de recherches en économie basé à la Martinique, mais qui a ses ramifications en Guadeloupe et en Guyane. Ce groupe s’appelle le CEREGMIA et son dicteur, dit « Le Parrain », est Fred CELIMENE. Rappelons que la Cour des comptes est l’une des plus hautes juridictions de l’Etat français et que ses membres sont choisis pour leur intégrité.
Le feuilleton UAG continue mais de la plus sordide des manières. En effet, maintenant que « le Parrain », comme l’a surnommé Philippe Verdol, maître de conférences en économie sur le campus de Fouillole, a été démasqué, maintenant que toute la presse est au courant de son réseau mafieux et de ses turpitudes dénoncées dans un rapport de la Cour des comptes, ses « filleuls » s’affolent.
Après René Dorville en fin de semaine dernière, c’est au tour de Jean-Marie Fotsing, le vice-président du Pôle universitaire guyanais de faire part de son profond malaise et de son entier désaccord envers les dispositions prises par la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, Geneviève Fioraso. A l’instar de René Dorville, le n°1 en Guyane du pôle universitaire, s’estime, à sa manière, injustement sacrifié sur l’autel d’un hypothétique retour à la paix sociale. Jean-Marie Fotsing a été élu à la tête du pôle Guyane le 21 mars dernier…
La perspective du démantèlement de l’UAG inquiète le monde économique, et c’est d’une seule et même voix que ses représentants ont décidé d’exprimer leur position au Président de la République, au Premier ministre, ainsi qu’au ministre des Outre-mer et au ministre de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur. A l’heure où l’ouverture au monde s’impose et où toutes les forces doivent être réunies pour faire face aux défis du 21è siècle, les chefs d’entreprise de Martinique s’alarment de ces nouveaux bouleversements qui ajoutent de l’instabilité à l’inquiétude.
Conférence à l'Universite Nationale de Lanus à Buenos-Aires ; Iles Malouines et Guyane : l'Amérique du Sud face à la continuité du colonialisme le 29/11/2013
L’année du centenaire de la naissance du grand poète et grand Martiniquais que fut Aimé Césaire est sur le point de s’achever, mais le PPM veut continuer à exploiter l’image de ce dernier de la manière la plus indécente qui soit. Il veut, en effet, ronger l’os jusqu’à la moelle ! Un exemple ? L’inauguration à grand renfort de publicité, le 9 novembre dernier, d’un aménagement paysager situé au quartier Le Coin, à l’entrée du bourg du Carbet.