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Une étude sur 2.100 patients considérée comme valable en Chine (1,2 milliard d'habitants)

Une étude sur 2.100 patients considérée comme valable en Chine (1,2 milliard d'habitants)

   Dans l'article que l'on peut lire tout en bas de cette introduction, on évoque une enquête chinoise qui a concerné 2.100 personnes dans ce pays qui compte 1,2 milliards d'habitants.

   Cette étude indique que les personnes appartenant au groupe sanguin "O" sont moins susceptibles d'attraper le covid-19 que celles des autres groupes, en particulier celles du groupe "A". Cela ne signifie pas du tout que les personnes du groupe "O" seraient immunisées mais qu'elles attrapent moins facilement le virus. Personne n'a remis en cause les conclusions de cette étude à cause du petit nombre de patients concernés ! En effet, 2.100 personnes, cela peut sembler dérisoire fasse au milliard et quelque d'habitants qui peuplent la Chine. Eh bien non ! 

   Il n'y a donc qu'en Martinique qu'une enquête publique qui a fait se déplacer et signer 2.300 Martiniquais au sujet de la fameuse parcelle de Séguineau, au Lorrain, que le Préfet propose de transformer en "servitude publique", à être considérée par certains élus comme nulle et non avenue. Résumons :

 

   . une enquête (chinoise) de 2.100 personnes sur 1,2 milliards d'habitants : valable.

 

   . une enquête (martiniquaise) de 2.300 personnes sur 360.000 habitants : non valable.

 

   Ces élus de PEYI-A sont de vrais "grangrek" basanés !...

 

***

 

Le groupe sanguin O immunise-t-il contre le Covid-19 ?

Sixtine Lerouge,

Les études démontrant une protection du groupe sanguin O face au Covid-19 sont de plus en plus nombreuses.

Pour autant, cela ne signifie pas qu’une partie de la population serait immunisée.

Les personnes de groupe sanguin O auraient-elles moins de risque d’être infectées par le Covid-19 ? Dès le mois de mars 2020, des chercheurs chinois avançaient l’hypothèse. Leur étude, menée sur 2 100 malades, concluait que les personnes du groupe sanguin O présentaient 33 % de risques en moins d’être contaminées. À l’inverse, ils identifiaient un surrisque d’infection de 20 % pour les personnes du groupe sanguin A.

Plus récemment, des chercheurs du Groupe IVI, un institut espagnol spécialisé dans les traitements de fertilité, ont consolidé ces conclusions, dans une étude communiquée jeudi 4 février. D’après les données récoltées auprès de 6 140 patients atteints du Covid-19, il a été constaté que « l’incidence de la maladie était inférieure chez les patients du groupe O et, que parmi les personnes infectées, on constatait qu’un nombre significativement supérieur avait un rhésus négatif, contrairement à ce qui avait été publié au préalable. » Face au Covid, mieux vaut donc être O + !

Des risques d’infections diminués mais pas inexistants

Sur la quarantaine d’études menées depuis le début de la crise sanitaire, « il y a un quasi-consensus que le groupe sanguin O est moins à risque que les autres », relève Jacques Le Pendu, directeur de recherche à l’Inserm et à l’université de Nantes. Mais moins à risque vis-à-vis de quoi ? « La majorité des études regardent les risques d’infection. » Toutes convergent vers une même conclusion : les personnes du groupe sanguin O ont moins de risque d’être testées positives au Covid-19. Mais rien ne prouve qu’elles ne peuvent pas contracter le virus.

En Europe, « si je me fie aux études des pays voisins (Espagne, Belgique, Danemark), la diminution du risque serait aux alentours de 25 % », rapporte Jacques Le Pendu. Un pourcentage qui, à l’échelle individuelle, n’est pas déterminant : « Il n’est pas assez important pour ne pas prendre de précaution », prévient-il. D’autant que peu d’études portent sur le lien entre évolution de la maladie et groupe sanguin : rien ne prouve qu’appartenir au groupe O limite les risques de formes graves.

À l’échelle d’une population

Pour le chercheur, le risque moindre d’être contaminé quand on est du groupe O, prend réellement sens à l’échelle d’une population, si elle jouait sur la transmission d’un groupe sanguin à l’autre. En effet, les anticorps de chaque personne se développent en fonction de son groupe sanguin : une personne du groupe A fabrique des anticorps anti B, une personne du groupe B, des anti A, et une personne du groupe O, des anti A et des anti B. « Si je suis de groupe O infecté par une personne de groupe A, mes anticorps anti A pourraient me permettre d’éliminer le virus », envisage, en vulgarisant, Jacques Le Pendu, qui tient à utiliser le conditionnel, faute de preuve scientifique définitive.

Cette hypothèse permettrait par ailleurs d’expliquer en partie la différence de progression en fonction des pays : plus une population est homogène en termes de groupe sanguin, plus le virus a de chance d’y circuler activement. Et inversement.

 


 

Commentaires

Véyative | 09/02/2021 - 05:47 :
Et si on parlait de la représentativité des élus, vu le taux d'abstention aux élections?

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