Rien ne va plus au sein de l'Université des Antilles !
Pendant un certain temps, la gouvernance de l'établissement a prétendu que tout était de la faute de ce qu'elle appelait "le clan MENCE-CASTER" du nom de l'ancienne présidente et avait, on s'en souvient, entrepris une honteuse politique "d'apaisement" à l'endroit des trois principaux dirigeants de l'ex-CEREGMIA, cela en vue de leur réintégration. Le Conseil d'Etat a mis fin à cette forfaiture en révoquant définitivement ces trois personnes de la fonction publique.
Aujourd'hui, comme on le verra dans le courrier ci-après et la liste de ses signataires, d'autres voix se font entendre, des langues se délient et là, plus question d'invoquer un prétendu clan-ceci ou clan-cela. Voix aussi bien martiniquaises que guadeloupéennes qui dénoncent un mode de management dictatorial au sein de l'Université. Ainsi peut-on lire dans ce courrier que :
"L'intimidation et la terreur ne sauraient être une méthode de gestion des ressources humaines".
Management plus précisément macoutique à la Faculté des Lettres et Sciences humaines, ce que ne précise pas ce courrier, qu'un subrécargue de la gouvernance s'efforce de transformer en "habitation coloniale" avec lui comme "commandeur". Des révélations sur ce triste sire et ses agissements seront bientôt livrées au grand public...