En effet, Jean-Louis DE LUCY DE FOSSARIEU, n'a pas été placé dans une cellule quelconque, de celles dans laquelle on met à l'ombre les petits voleurs de mobylette, les dealers de "zeb" et autres maris ou concubins violents. Oh que non ! Monsieur a eu droit à une cellule "V.I.P", ce qui se traduit en anglais par "Very Important Person" et en créole par "Véri Initil Pèsonn". Et pourquoi, d'après vous ? Réponse de responsables de la charmante maison d'arrêt de Champigny :
"A cause de son statut social !"
Non, mais vous vous foutez de la gueule de qui là, les mecs ? Zot dwet ka pwan Neg pou an bann tèbèdjè oben ki sa ? Car quand on a ou plutôt quand on jouit d'un "statut social", surtout depuis des siècles comme c'est le cas du groupe ethnique béké, on doit se respecter et surtout respecter la société qui vous a offert cette position privilégiée. A tricher allègrement avec les règles et les lois grâce à la complicité d'élus "nègres", à en vouloir plus, encore plus et toujours plus, on démontre que l'on n'a que mépris envers la société toute entière.
Il se dit que les deux autres mis en examen dans cette affaire, à savoir le père DE LUCY et le maire (PPM) du Marin, Rodolphe DESIRE, n'ont évité l'incarcération que grâce à leur âge vénérable puisqu'ils sont tous deux octogénaires. Sinon il aurait fallu trouver 3 cellules V.I.P !!! Or, n'y en a pas tant que ça à Champigny, selon des sources bien informées. En réalité, c'est un bien pour un mal, car s'ils avaient été incarcérés eux aussi, où aurait-on trouvé des cellules V.I.P pour le types du CEREGMIA à qui le Parquet Financier National de Paris serrera la vis incessamment sous peu ?
Ah, notons que CERENANTILLES et CEREGMIA ont la même avocate !...