"On ne peut pas tuer l’idée à coups de canon ni lui mettre les poucettes [menottes]."
Cette citation de le révolutionnaire française Louise Michel s’applique bien à Montray Kreyol.
Au surplus, pluraliste, MK accepte les points de vue divergents voire opposés sans que cela ne suscite l’ire de qui que ce soit.
Est-ce cette ouverture qui gêne?