La Cour d'appel de Fort-de-France vient donc de lever le contrôle judiciaire du trio du CEREGMIA qui pourra désormais revenir sur le campus, mais sans avoir le droit de faire fonctionner leur CEREGMIA. En effet, Fred CELIMENE, Kinvi LOGOSAH et Eric CRPIN pourront sans doute parader et faire croire au bon peuple qu'ils ont été blanchis, mais il faut savoir qu'ils restent mis en examen pour les délits suivants :
. détournements de fonds publics.
. atteinte à la liberté d'accès dans les marchés publics.
. recel d'un bien provenant d'un délit.
. escroquerie en bande organisée.
. faux en écritures publiques.
En effet, tout ce qui 'est passé jusqu'à ce jour (révocation, suspension de poste, autorisation de revenir sur le campus etc.) relève de la seule justice administrative. La justice pénale, elle, n'est pas encore entrée en action, mais elle sera contrainte de le faire tôt ou tard et là, devant la matérialité des faits, les gens du CEREGMIA cesseront de fanfaronner.
En attendant, la décision de la Cour d'Appel de Fort-de-France est en grande partie due à la politique indigne, ignoble et scélérate de l'actuelle gouvernance de l'Université qui a renvoyé l'avocate qui défendait l'établissement pour embaucher un avocat qui ne connaît rien au dossier et surtout qui a parlé "d'apaisement". Depuis des mois, cette gouvernance recherche des postes pour réintégrer ces mafieux et elle n'a jamais communiqué sur le fait que l'Université des Antilles a déjà remboursé 6 millions d'euros à cause du CEREGMIA et que 2 autres millions ont été mis en réserve afin de poursuivre le remboursement.
Comment la Cour d'Appel aurait-elle pu aller à l'encontre d'une partie civile qui s'allie à ceux qui sont censé être ses adversaires ? Car le trio du CEREGMIA a bénéficié de 4 avocats : les 3 qu'il a recrutés + Me SYLVESTRE, celui de l'Université des Antilles. Il est désormais clair pour tout un chacun que la gouvernance de cette dernière a déclaré ouvertement la guerre au Pôle Martinique.
La suite au prochain épisode...