Alors que les peuples tunisiens et égyptiens luttent encore pour rester maîtres de leur révolution, exposent leur soif de justice, d’informations vraies et souhaitent un langage de vérité des futurs gouvernants de leur Etat respectif, il semble que dans notre pays la tendance soit toute autre chez ceux qui possèdent certains leviers de pouvoir (presse officielle – Préfecture – Présidence de la Région…).