Vers une inconnue ? pas si sûre, monsieur l’artiste ! Car le martiniquais comme partout dans le monde s’adresse tôt où tard à une inconnue !
Mais il faut bien admettre que l’erreur vient de Fwans Manti, allias France Antilles !
Eh oui, « t’as compris ! »
Il faut lire et comprendre que le sieur Saël prétend que « le Martiniquais n’est pas prêt à aller vers l’inconnu » (sans le « e » !)
Comme il fallait s’y attendre, Saël le champion du reggae, en français s’il vous plait, déjà formaté pour ne pas véhiculer sa langue martiniquaise caribéenne en tant qu’artiste ; déjà décoré comme soldat de la francophonie par l’administration colonialiste française, puisque produisant de très beaux morceaux musicalement parlant, mais hélas pour certains au contenu et textes incitant les jeunes et moins jeunes à se détourner de la politique, et surtout au dénigrement des politiciens en général, et singulièrement des politiciens martiniquais.
Tristes paroles de colonisé, pathologie de la contradiction avec soi même, de la confusion, de la non pertinence, de phobie, d’auto phobie, d’auto dénigrement, … classique en pays dominé dans la dépendance à l'autre.
Triste colonisé : pion, otage, manipulé par des médias oeuvrant contre l’intérêt du peuple martiniquais, toujours agissant pour chercher à induire le peuple dans des raisonnements absurdes et illogiques ;
Car bien entendu, philosophiquement, l’inconnu est naturel et mondial, il est interrogations quotidiennes pour les lendemains de l’humanité, des individus et des peuples ; et justement la politique, non comprise par Saël et bien d’autres comme lui, est l’activité humaine qui tente d’appréhender cet inconnu du futur ; cette politique au sens premier cherche à prévoir ce futur collectif pour une société, à tenter de le maîtriser au mieux dans l’intérêt et la survie de cette société.
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Nou karibéyen, Nou pa té fè Bwa Kay Man, Matouba 1802,..., 22 mé 1848,... Baragwa, ... sèptanm 1870, ... pou lé péyi nou sèvi létranjé !
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