Ce numéro d'ANTILLA zoome sur une communauté très discrète, celle des Chinois martiniquais, dont il faut rappeler qu'elle a commencé à se constituer après l'abolition de l'esclavage, en 1953 très exactement, lorsque les planteurs békés furent contraints de faire appel à de la main d'œuvre de l'Inde et de la Chine pour remplacer les anciens esclaves qui ne voulaient plus couper la canne à sucre.
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Voici quelques-uns des principaux articles de ce n° 1808 :